1. Comment faire ? (1)


    Datte: 26/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    L’été dernier, je passais une semaine naturiste sur la côte atlantique à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Bordeaux...
    
    Cette semaine devait me permettre de bronzer un peu en ce début d’été et de recharger mes batteries, avant de continuer mon périple qui devait m’emmener dans le Périgord et la région de Clermont-Ferrand pour voir des amis.
    
    Célibataire endurci, j’avais loué un bungalow dans le camp naturiste proche de la plage et je m’y trouvais bien... Ce n’était pas la première fois que j’y venais... J’appréciais le calme du début de saison, car les Belges, Hollandais et Scandinaves n’étaient pas encore très nombreux... et chez nous, les vacances scolaires ne commençaient que la semaine suivante.
    
    Le lundi, il n’y avait plus guère de monde... Les habitués du week-end étaient repartis la veille et il ne restait plus que des jeunes couples ou des séniors... J’étais entre les deux à un peu plus de 45 ans... Adepte du ‘tout nu’ depuis de nombreuses années, je profitais de la plage pour bronzer, nager dans l’océan lorsqu’il était calme, lire la provision de livres que j’avais apportée... J’avais profité du Salon du Livre de Paris pour faire l’emplette de quelques nouveautés...
    
    Le soir, j’allais en ville pour dîner tardivement et la nuit était tombée depuis longtemps lorsque je regagnais mon bungalow.
    
    En milieu de semaine, je rentrais au camping quand dans la lumière des phares, j’ai aperçu des silhouettes dans la demi-pénombre qui visiblement faisaient de ...
    ... l’auto-stop : certainement deux femmes, car elles portaient des jupes légères flottant au vent. Il restait encore au moins trois kilomètres pour arriver au camping...
    
    Bien évidemment, je me suis arrêté et j’ai reconnu deux filles que j’avais aperçues sur la plage, offrant leurs corps nus aux rayons du soleil... Elles se baignaient peu, mais marchaient le long du rivage en se tenant par la main et disparaissaient à ma vue de longs moments avant de revenir s’allonger sur leurs nattes.
    
    Elles devaient avoir autour de la trentaine; blondes comme les blés, assez jolies, avec des formes menues, mais bien proportionnées... les seins placés haut sur le buste et visiblement bien fermes, ronds pour l’une et pointus pour l’autre avec le téton qui se dressait fièrement. Toutes deux avaient les cheveux coupés très courts. Je n’avais pas remarqué d’homme en leur compagnie...
    
    En cours de route, nous avons bavardé un peu... C’était des étrangères, hollandaises, mais parlant un français comme j’aurais bien voulu parler une langue étrangère... Mes souvenirs du lycée étaient loin...
    
    De retour au camping, j’ai garé ma voiture avant l’entrée (interdiction de troubler la quiétude des vacanciers...) et je les ai laissées devant leur bungalow, avant de revenir en arrière et de gagner le mien à quelques distances de là.
    
    Leur attitude sur la plage où elles s’embrassaient doucement dans le cou ou derrière l’oreille, les promenades main dans la main m’a immédiatement rappelé que je devais ...
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