1. Contre toute attente (2)


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Ang3l, Source: Xstory

    ... Annick n’avait connu que de rares caresses de son père – et seulement sur ses cheveux – quand il était content d’elle. Il y avait aussi le tendre baiser quotidien de sa mère sur son front avant le coucher. Et là, elle découvre son corps dans un déferlement de sensations telles qu’elle se sent submergée et emportée. Elle a l’impression que ses seins gonflent de plaisir ; chaque contact avec ses tétons tendus et durcis les fait devenir plus gros, énormes, si sensibles que c’est presque douloureux par moments. Elle découvre son entrejambe, cette partie du corps tellement taboue dans sa famille qu’on ne la nomme jamais et dont il faut avoir honte quand, une fois par mois, elle saigne. Il y a aussi ce point tellement sensible que le moindre effleurement, la moindre caresse lui provoquent des décharges explosives qui envahissent tout son corps. Puis il y a la fente, juste en dessous, qu’elle sent s’ouvrir comme une corolle de fleur et devenir de plus en plus mouillée à chaque passage des doigts.
    
    Le plus étrange, c’est que ni les mains, ni la bouche ne sont rattachées à de vraies personnes : elles sont là, comme ça, flottant dans le néant, animées de leur vie propre. À ce moment-là, Annick réalise qu’elle est totalement nue, exposée, impudique. Une vague de honte la submerge presque douloureusement avant de se dissoudre dans la jouissance provoquée par les différentes caresses. Elle se rassure en se disant que ce n’est de toute façon qu’un rêve.
    
    ***
    
    Alors que Nicolas ...
    ... s’occupe toujours d’exciter les seins d’Annick avec ardeur, de sa main libre il a libéré sa queue du pantalon et du caleçon qui la pressaient à lui faire mal. Elle pointe maintenant nue, fièrement, droite, assez fine et plutôt longue. Et Nicolas commence un mouvement de va-et-vient le long de son membre, de manière assez rapide, à la mesure de son excitation.
    
    — On se calme, garçon ! C’est pas encore le moment, intervient Marc d’un ton autoritaire.
    
    Marc, de son côté, continue à stimuler le clitoris complètement dressé et débarrassé de son capuchon. Son autre main caresse de manière de plus en plus appuyée l’entrée du jeune vagin qui dégouline maintenant abondamment sur les fesses. Après un dernier aller-retour à l’intérieur de la fente, Marc fait pénétrer doucement un doigt dans le passage intime vraiment très serré d’Annick, lui arrachant un gémissement plus fort que les autres. Arrivé au fond, il sent le col de son utérus avec lequel il joue un peu.
    
    — Je pense que la petite est encore vierge, dit-il aux autres.
    
    Il fait plusieurs va-et-vient lents et doux à l’intérieur du vagin, tournant pour l’ouvrir un peu plus et repliant son doigt par moments pour stimuler le point G ; la jeune fille ondule des hanches pour accompagner les mouvements du doigt. Puis il joint deux doigts, et d’une poussée unique, lente mais ferme, il les fait entrer tous les deux à fond. À ce moment-là, Annick se crispe ; Marc immobilise ses doigts pour qu’elle s’habitue, se concentre sur son clitoris ...
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