1. Thomas et son père (4)


    Datte: 26/11/2020, Catégories: Gay Auteur: yphos, Source: Xstory

    ... totalement faire en fermant les yeux, même quand je bise sa bouche, où je m’attarde. Il ne veut pas répondre quand je pointe ma langue entre ses lèvres et préfère tourner la tête.
    
    Quand ma main enserre son colosse, il ne proteste pas. S’il est en semi-érection, mes manipulations de ses testicules et mes caresses de son gland le font vite durcir.
    
    J’ai trop envie de sa grosse bite !
    
    Je me redresse, me retourne et la prends en bouche. Comme il est beau ce gros phallus gonflé, et comme il est bon ! Papa me caresse le dos, puis les fesses. Sa verge durcit un peu plus sous ma langue.
    
    J’adore le sucer, le gober, l’avaler le plus possible !
    
    Il me pétrit chaque fesse à pleine main, puis fait courir un doigt le long de ma raie. Ce contact m’électrise et je me cambre pour mieux en profiter. Il glisse son doigt de haut en bas le long du tissu qui sépare mes fesses et chaque passage sur mon anus me fait frétiller.
    
    Il arrête sa caresse anale et de la main, me fait écarter les cuisses. Il glisse ses doigts entre elles et me saisit le sexe à travers la culotte. Il ne me masturbe pas, non, juste quelques pressions sur ma hampe qui est bien raide, elle aussi !
    
    Je glisse la main entre nous et rencontre la sienne, que je presse pour l’encourager à continuer de me toucher.
    
    J’en profite pour me dégager du string et lui laisser toucher la peau de mon membre.
    
    Cette fois, il devient plus actif et me décalotte le gland avant de le presser entre ses doigts.
    
    Sans arrêter ...
    ... ma succion, je le chevauche en soixante-neuf et lui mets mon bout à quelques centimètres des lèvres. Des secondes passent et, enfin il ouvre la bouche pour me gober.
    
    Cette fois, il abandonne sa réserve morale et se libère dans le plaisir. Il me tète à tout va et, s’il continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps.
    
    Je suis contraint de l’interrompre sous peine d’éjaculer tout de suite. Je me redresse et me retourne pour m’allonger à plat ventre sur son torse.
    
    Je lui glisse à l’oreille :
    
    « Ce soir, je veux être ta femme. Aime-moi comme telle, mon chéri »
    
    Je dois réussir à le convaincre, car il m’enserre fiévreusement dans ses bras.
    
    Quand je pose mes lèvres sur les siennes, il ne s’échappe plus, mais ouvre la bouche et nos langues se mêlent.
    
    Ça me fait bizarre d’embrasser un homme, mais quel homme ! Lui aussi, met un moment avant de m’embrasser plus passionnément. Sa main cherche mon sexe et je me relève un peu pour lui faciliter la tâche. Je me positionne à califourchon sur son pubis sans jamais me détacher de notre baiser.
    
    Je redresse le buste pour que nous puissions reprendre notre respiration. Comme je le chevauche, il lui est facile d’accéder à mon sexe qu’il saisit et pétrit de sa poigne. Pour ma part, je presse sa hampe rigide dans mon sillon et me frotte la raie en basculant du bassin.
    
    Je me penche à son oreille et murmure :
    
    « Je te veux en moi ! »
    
    Sans attendre sa réponse, je tente de m’asseoir sur son pieu. J’ai eu ...