Un appel tardif
Datte: 26/11/2020,
Catégories:
ffh,
copains,
fépilée,
couple,
cérébral,
Masturbation
fsodo,
Oral
Auteur: Rosebud, Source: Revebebe
... tête. Et le reste. Tout mon corps leur était dévoué et ne demandait qu’à les satisfaire.
Valérie nous entraîna jusqu’à la chambre. J’avais, dans un premier temps, imaginé que Steph’ dormirait dans la chambre d’amis voisine. Il n’en serait apparemment rien puisqu’un troisième oreiller avait été installé entre les nôtres. Le lit était certes grand, mais à trois occupants, il serait impossible de ne pas se toucher, même accidentellement. La nuit s’annonçait torride et je me surpris à imaginer les suivantes. Et même, pourquoi pas, que Steph’ s’installerait à demeure chez nous ; c’était une perspective des plus réjouissantes que, trois heures plus tôt, je n’aurais osé formuler. Pourtant, en les voyant toutes deux se dénuder pour se faufiler sous les couvertures, je me fis la réflexion que s’il ne s’agissait pas du bonheur, je devais bien admettre que cette situation y ressemblait fortement. Quand Valérie posa les lèvres sur la poitrine de Steph’, je constatai avec joie qu’elle aussi semblait vouloir que cette situation perdure dans le temps.
Je restai d’abord spectateur de leurs ébats, jouissant intérieurement de leur plaisir et de la chance qui était la mienne. Rien n’a jamais été plus beau à mes yeux que deux corps de femmes enlacés, leur langue s’invitant sur le corps de l’autre, découvrant chaque parcelle de sa peau. De temps à autre une main, une bouche, s’aventurait sur mon sexe en feu puis repartait vers d’autres horizons. Je caressais, léchais, suçais moi aussi à ...
... l’envi les parties les plus inaccessibles du corps de mes amantes.
Tard dans la nuit, bien des orgasmes plus tard, enfin repus pour un temps, nous nous endormîmes l’un et l’une contre l’autre. De quoi pourrais-je rêver ? Mes fantasmes les plus fous avaient été assouvis en une seule soirée. Et pourtant…
***
Je m’éveillai au son de la tondeuse du voisin. Quelle soirée ! Quelle nuit ! Je m’étirais en évitant de bousculer ma voisine quand je constatai que j’étais seul dans le grand lit. Le radio-réveil affichait 9 h 58. Valérie et Stéphanie devaient être levées, rien de plus. Pourtant, un affreux doute m’envahit : et si tout ceci n’avait été qu’un rêve ? Je n’osai y croire, mais pourtant, je m’étais moi-même fait la réflexion que cette aventure relevait du fantasme plus que de la réalité… Je m’obligeai à me rappeler chaque instant, le goût de la peau de Steph’, la divine sensation de mon sexe déflorant son anus, de peur que comme après chaque rêve ces souvenirs magnifiques disparaissent. Tout avait pourtant paru si réel… Même en me levant, je gardais pleinement conscience de ce que nous avions vécu, et alors que je descendais l’escalier je pouvais encore sentir le parfum de Steph’.
J’arrivai dans la cuisine vide. Valérie devait être partie au marché, comme chaque samedi. Le salon ne présentait aucune trace de nos ébats de la veille. Pas un verre ne traînait sur la table ; aucune trace non plus du plat de poulet dans l’évier. Je devais me rendre à l’évidence : tout ceci ...