1. Un appel tardif


    Datte: 26/11/2020, Catégories: ffh, copains, fépilée, couple, cérébral, Masturbation fsodo, Oral Auteur: Rosebud, Source: Revebebe

    ... m’avait jamais semblé que ma femme puisse ressentir une attirance pour une autre femme.
    
    — Elle t’excite aussi ? osai-je.
    — Hum… Mouais ! fit-elle d’une moue coquine.
    
    Elle dut sentir mon sexe grossir encore un peu plus entre ses doigts.
    
    — Elle aussi, elle te trouve canon.
    — Elle te l’a dit ?
    — Ben oui…
    — Elle t’a dit à toi, insistai-je, qu’elle me trouvait canon ?
    — Ben oui ! confirma-t-elle. Qu’est-ce qui te surprend ?
    — Eh bien… je me vois mal dire à mon meilleur ami que je trouve sa femme bandante, c’est tout.
    
    Sa main descendit sur mes bourses et les malaxa tendrement. Elle savait que j’adorais ça.
    
    — Ah, les mecs…
    — Quoi ?
    — Rien… Vous êtes forts en gueule, mais faut pas que ça aille trop loin.
    — Qu’est-ce que tu entends par là ?
    — Oh, rien…
    
    Elle abandonna mon entrejambe et se tourna vers l’extérieur du lit.
    
    — Bonne nuit, Dom Juan…
    
    Pour la deuxième fois de la soirée, elle me laissait en plan. C’était énervant. Mais ce qui m’énervait encore plus, c’était le sous-entendu de cette conversation. Qu’essayait-elle de me dire par « Vous êtes forts en gueule, mais faut pas que ça aille trop loin. » ?
    
    J’eus toutes les peines du monde à trouver le sommeil.
    
    ***
    
    Le lendemain soir, après ma journée de travail, je constatai dès mon arrivée que la voiture de Steph’ était garée sur notre parking. Je ne pus réprimer un sourire en me remémorant mes pensées de la veille. En entrant, tandis que je m’attendais à des crises de larmes, je fus ...
    ... accueilli par des éclats de rire entrecoupés d’échanges joyeux dont je ne distinguais pas les mots.
    
    — Salut, dis-je pour m’annoncer.
    
    Les messes basses cessèrent lorsque je pénétrai dans le salon.
    
    — Ça va, chéri ? interrogea Valérie en se levant.
    — Oui, et toi ?
    — Impec.
    
    Je l’embrassai puis m’avançai vers Steph’ pour lui faire la bise. Comme je m’y attendais, elle avait pioché dans sa garde-robe quelques vêtements sans doute achetés sur un site coquin. Je la détaillai rapidement de la tête aux pieds : ses longs cheveux blonds étaient attachés en queue-de-cheval ; son maquillage discret mettait en relief ses grands yeux bleus et ses lèvres pulpeuses ; son « haut » était une sorte de brassière que j’aurais personnellement relégué au rayon « sous-vêtements », noir, arrivant bien au-dessus du nombril et moulant parfaitement ses seins ; une jupe rouge fendue et étonnement longue, puisqu’elle lui couvrait la moitié des cuisses, des bas noirs et des escarpins rouges. Ainsi accoutrée, elle aurait pu ressembler à une travailleuse d’un sordide trottoir parisien. Cependant, elle était pourvue d’une classe naturelle qui levait immédiatement ce type de doute.
    
    — Ça va ? lui demandai-je avec une compassion non feinte.
    — Oui, je te remercie, Simon… et merci aussi de m’accueillir.
    — Pas de souci ; sois la bienvenue.
    
    Mes yeux croisèrent ceux de Valérie qui m’adressa un clin d’œil. Je n’avais pas pris conscience jusqu’alors qu’elle aussi était habillée de façon plus sexy qu’à ...
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