1. L'alarme


    Datte: 25/11/2020, Catégories: fh, ff, grp, fplusag, jeunes, grosseins, vacances, piscine, bateau, Oral pénétratio, fdanus, Partouze / Groupe aventure, Auteur: Apv, Source: Revebebe

    ... Paula à genoux au-dessus de sa bouche, ses lèvres sur ses lèvres. On distinguait nettement la langue de Catherine à l’ouvrage. Elle y mettait toute son expérience acquise au long de sa vie libertine. Elle tournait, suçait, léchait, introduisait légèrement… Dans le même temps, sa main agaçait un sein dont la large aréole se gonflait.
    
    Paula avait manifestement quitté ce monde : elle avait du mal à trouver sa respiration, son corps était agité de soubresauts et elle ouvrait la bouche tel un poisson jeté sur une berge à la recherche d’oxygène. Ses réactions étaient désordonnées, elle semblait y prendre beaucoup de plaisir. Accaparée seulement par les délices procurée par la langue experte, elle en oublia qu’elle fut féminine.
    
    En revanche, Catherine paraissait recueillir les fruits de la maturité sexuelle. Elle avait abandonné les petits seins de la femme de ménage et ses doigts tournaient maintenant autour de l’anus de sa partenaire, y ramenant de la mouille depuis son minou. Puis, sans autre forme de procès, elle enfonça deux ...
    ... doigts dans le fondement de Paula qui gémit de plus belle. Perdue, folle de plaisir, égarée dans l’infinie diversité des sentiments qui l’assaillaient, la mexicaine râla, gémit, soupira et geignit. La française faisait preuve d’une abnégation sans borne, se concentrant sur la jouissance de sa jeune partenaire.
    
    Sous le coup d’un orgasme, le corps de la femme de ménage s’arqua et elle lança des insultes en espagnol. La seconde main de Catherine s’activait en même temps sur le clitoris de la bienheureuse, qui en fait ne connaissait pas de répit.
    
    Une alarme tonitruante retentit soudain dans les coursives. Les cris redoublèrent. La panique. Déjà la lumière avait jeté les esprits dans un état d’angoisse, cette sonnerie stridente ajoutait l’urgence. Les coursives se remplirent de passagers à moitié nus, de cris et de hurlements. On se piétinait. On se bousculait. La sirène beuglait sans discontinuité et le navire tout entier semblait hurler. Un message d’évacuation résonnait comme le glas avant la fin.
    
    (À suivre Chapitre 3 : La mutinerie) 
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