1. Naima une petite beurette de 38 ans


    Datte: 25/11/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Auteur: love33000, Source: xHamster

    Je suis Naima une petite beurette de 38 ans, 1m59, les yeux marron, vendeuses en parfumerie. J’ai de longs cheveux noirs que j’aime brosser. J’ai des lèvres pulpeuses, un corps athlétique. Je fais du sport, je fais du fitness et du jogging régulièrement.
    
    Je fais un 85D avec des tétons en pointe, les petites lèvres de ma chattes sont plutôt très grande (c’était un complexe plus jeune), j’ai aussi un gros clito très sensible qui ressemble à une petite bite ; avec tout ça j’ai un bon gros cul de black (il parait) et je suis une grosse chienne…je l’avoue.
    
    J’habite avec mon mari Djibril un franco-camerounais, Il est aussi vicieux et pervers que moi. Il fait 1m98, Il a 32 ans, black, il faisait du basket quand on s’est connu. Aujourd’hui, il est mécano et il a son propre garage. Evidemment, je suis avec lui parce qu’il a une bite énorme de 24cm avec un gland gigantesque et pour mon plaisir, il m’encule toujours brutalement.
    
    Je le confesse j’adore la sodomie depuis longtemps. Aujourd’hui mon anus ne ressemble plus à rien. Mon trou du cul à plutôt l’aspect d’un chou-fleur brunâtre boursouflé et tombant.
    
    Ce que j’aime le plus c’est cette sensation quand une grosse bite pousse contre mon anus, le force violemment et écarte les sphincters. Ensuite, j’aime sentir le gland pénétrer mon rectum cm par cm, sentir la progression de la bite en moi, et enfin, la sentir buter au fond de mon trou du cul avec deux bonne couilles qui frappent ma chatte gluante.
    
    A ce moment-là, c’est ...
    ... le bonheur ! Je me sens déchirée, écartelées, possédée au plus profond de mes entrailles, de mon être et de mon âme. Je suis secouée de spasmes, mes jambes tremblent… Je me sens femme. Je me sens chienne. Je me sens vivre. Je jouis du cul.
    
    La sodomie, ça a commencé quand ma mère nous a quitté mon père, mon frère et moi, pour un homme plus riche, un pharmacien un grand black très classe. La pharmacie du quartier voisin. J’avais 18 ans.
    
    Elle nous a quittés du jour au lendemain.
    
    Elle nous disait être partie au chevet d’une amie malade, mais au bout de 3 jours, elle est revenue prendre ses affaires une nuit.
    
    Ma mère essayait toujours d’être bien habillée malgré nos finances mais là, sa tenue avait l’air froissée et elle avait aussi beaucoup de traces blanches sur sa robe.
    
    Dans leur chambre, ma mère était calme, froide. Elle rangeait ses habits négligemment dans un grand sac en cuir d’une marque de haute couture. Mon père pleurait comme un enfant. Les larmes aux yeux, la morve au nez, il reniflait bruyamment.
    
    Je les entendais.
    
    Il lui hurlait de ne pas partir, qu’il l’aimait plus que tout, qu’il en mourrait, qu’il se suiciderait si elle le quittait… mais ma mère s’en amusait.
    
    Calmement, elle le rabaissait, elle lui expliquait qu’il ne la méritait finalement pas, que moussa osait tout avec elle, qu’il faisait tout ce que mon père ne pouvais pas faire, qu’il ne sera jamais à la hauteur devant moussa….et tout ça très froidement pendant que mon père hurlait des ...
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