Fureur noire des cocus
Datte: 25/11/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... sans résultat positif puisqu’elle a continué à forniquer devant les caméras puis dans notre lit avec cet individu insatiable. Certes elle n’a pas été sexuellement en manque pendant que je me morfondais, bien au contraire ! Au moins aurait-elle pu souffrir sentimentalement de mon absence, mais sa situation actuelle ne le dit pas. A condition que Patricia soit encore capable de comparer mari et amant du jour, elle finira peut-être par reconnaître ses erreurs, par haïr la brute, par regretter le brave type
Rana la prend en pitié, voudrait que nous mettions fin à la raclée. Ce n’est pas le moment de se montrer. Il convient d’attendre la meilleure occasion. Rana ne perd pas de temps, elle abaisse le zip de mon pantalon et voudrait se livrer à une fellation. J‘empoigne sa tignasse crépue et la maintiens à distance de mon sexe. La rage de Mamadou me sauve :
- Maintenant tu me suces la queue ou je t’assomme. Et alors je te ramonerai le derrière, à te faire crever de jouissance. Je vais te casser, te mettre sur les genoux, te couper les pattes, te rendre incapable de venir faire ta salope ce soir. Fini de jouer ! Et tu verras le déferlement d’emmerdes qui suivra ton abandon de poste. Tu l’as voulu, tu vas être servie. Allez, couchée sur le ventre, par terre. Hum… Par amour de toi, je t’accorde une dernière faveur, je ne t’enculerai pas à sec. Tu as du beurre ?... Bien… On va à la cuisine, sur le carrelage, rejouer le Dernier Tango à Paris. Ca te laissera un souvenir impérissable ...
... Tu peux me remercier. Si tu ne marches pas droit, je te ferai sentir la différence entre les deux méthodes
.- Noooooon, je ne veux pas. Au secours….
Qui pourrait la secourir ? J e n’entends plus rien. Il a dû lui mettre sa grosse patte de satyre sur la bouche pour lui imposer silence. Je cherche à deviner ce qui se passe en haut. Un cri terrifiant, comme le dernier cri du cochon qu’on égorge, échappe au bâillon. Fourche à la main, je gravis les marches et je me précipite à la cuisine. Trop tard, Mamadou, l’amoureux, a planté son énorme dard noir entre les fesses écarlates de Patricia, écrasée sur le sol. Mamadou m’entend entrer, sent dans son dos la piqûre des dents de ma fourche au moment où il tourne la tête dans ma direction. Déjà Rana lui pince les chevilles avec une paire de menottes. Sa précision est étonnante et efficace. L’homme tente d’écarter ses poignets mais la piqûre des dents de fourche le ramène à la réalité. Voilà, il est inoffensif pour nous, mains dans le dos, pieds entravés. J’interroge Patricia toujours étalée et clouée au sol sous lui :
- Qu’est-ce qui se passe ici, je t’ai entendue appeler au secours ? Vous faites quoi ? Qui c’est celui-là ; il te viole ou vous faites l’amour? Tu l’as dans le cul ? C’est contre ta volonté ou tu as crié par vice ?
- Oh ! Mon amour, tu arrives à temps. Aide-moi à sortir de là. Il m’a agressée. Le salaud m’encule…ça fait mal. Il a une queue énorme. Délivre-moi. Pique-le ou tue-le, c »est tout ce qu’il mérite ce ...