1. Gavage d'une Oie Blanche


    Datte: 25/11/2020, Catégories: Mûr, Auteur: bysoumize67, Source: Literotica

    ... :
    
    - Tu as un rasoir? on va te raser la chatte, je déteste les putes avec des poils.
    
    Je lui indiquais le tiroir où se trouvait le rasoir ainsi que la crème, Ousmane me força à écarter mes cuisses. En un tour de main mon pubis fut nettoyé de ses poils, il rasa les quelques rares poils autour de mon vagin et remonta jusqu'à l'anus.
    
    Ma situation était particulièrement humiliante, ces deux jeunes gens qui étaient si aimables tout à l'heure sur la route me traitaient maintenant comme un vulgaire morceau de viande. Ils n'avaient aucun égard pour mon intimité. Mais pour rien au monde je n'aurais voulu qu'il en soit autrement, être traitée comme une putain me plaisait. Je ne savais rien d'eux, redoutais ce qui allait suivre tout en espérant que ce serait, disons spécial, inattendu.
    
    Depuis le début de ma vie sexuelle je n'avais jamais connu d'expérience sortant de l'ordinaire. En quelques minutes je venais de vivre plus de choses qu'en plus de trente années de mariage. Je venais de faire jouir deux hommes en même temps et nous allions recommencer. J'avais pris leur sperme dans ma bouche et avais avalé avec délice. Certes je n'avais pas eu le temps de jouir moi-même, mais je savais que ce n'était que partie remise.
    
    Je sus à ce moment-là que ce ne serait pas juste une aventure d'un soir, qu'ils profiteraient encore souvent de mon corps.
    
    Nous revînmes au salon, je ramassai ma robe et la posai sur un fauteuil, comme je me penchai Moussa me claqua brutalement les fesses ...
    ... :
    
    - Tu n'as donc aucune pudeur à te balader devant nous cul nu, remets ta culotte grosse pute.
    
    C'était plutôt culotté de sa part, enfin si je puis dire, eux se promenaient avec leur long engin à l'air. Mais j'obéis immédiatement, j'essayai de mettre le plus de sensibilité possible en la remettant, cambrant bien mes fesses. Puis je leur proposai d'ouvrir une nouvelle bouteille. Je n'en avais plus au frais dans le réfrigérateur, je dus en chercher une dans la cave ; en descendant je me souvins que j'avais une machine de linge en cours, je sortis les vêtements de mes deux amants et les mis dans le sèche-linge. Puis je remontai.
    
    Quand je revins au salon, ils avaient débarrassé la table basse et posé les verres et les amuse-bouche sur un petit guéridon. Ils avaient posé sur la table basse deux coussins de fauteuil. Je leur servis une coupe puis, sans qu'ils aient à me le demander je montais sur la table et me mis à quatre pattes, j'écartais mes cuisses autant que la largeur de la table le permettait. Tous deux bandaient de nouveau.
    
    Je portais toujours mes dessous et j'avais l'impression d'être une bête de foire ainsi exposée aux regards lubriques de ces deux hommes.
    
    Et c'est bien ce que j'étais, une bête de foire, Moussa :
    
    - Qu'est-ce t'en pense?
    
    - Belle bête, un peu grassouillette peut-être, mais je ne déteste pas, elle a de bonnes poignées d'amour la pute.
    
    - Ouais c'est vrai, les grosses sont confortables, de vrais matelas ; à propos tu as quel âge la ...
«12...8910...18»