Annie s'amuse avec moi - Histoires de Sexe

Annie s'amuse avec moi

... comme ça, tu vas attraper froid.
— Mais je n’ai pas d’affaires de rechange moi. Je n’ai pas de valise comme toi. Je peux pas me changer.
— Vas te laver, me dit-elle. Je vais me mettre au lit. Rejoins-moi quand tu auras fini. On se serrera pour une nuit.
— On va dormir ensemble ?

J’étais rouge comme une pivoine, contrairement à elle, qui restait impassible à toute émotion. Elle était même toujours aussi enjouée.

— Mais oui gros bêta. Va te laver. Tu dormiras nu. Ce n’est pas grave. Après tout, je t’ai vu hier en tenue d’Adam. Ce ne sera pas une nouveauté.

Elle me fit un clin d’œil. Elle avait un long sourire taquin en rien sexuel. Elle se doutait bien que je ne dormais pas tous les jours avec des demoiselles, qui plus est des femmes qui pourraient être ma mère.

— Tu as peut-être honte de ton petit zizi ? Il ne faut pas. Tu sais moi j’ai des petits seins, et j’en fais pas toute une histoire. On fait avec ce que la vie nous a donné. Et avec mon âge, j’ai déjà vu plein d’hommes nus. Certains avaient des petits sexes. Il ne faut pas avoir peur.

Elle riait de plus belle.

Je m’enfermai dans la salle de bain et pris ma douche. Une fois fini, nu comme un ver je sortis assez fébrile de la pièce pour regagner la chambre. Une tomate n’aurait pas pu être aussi rouge que moi. Je tenais mes vêtements mouillés dans la main. Ils masquaient mon sexe tout timide. Elle souriait et me regardait.

— Regarde, étends tes affaires sur la chaise là. Ils sécheront pour ...

... demain.

Elle désignait du doigt la chaise au fond de la pièce. Je lui faisais dos. La garce, elle avait tout le loisir de mater mes fesses. Mes fesses sont la partie que j’aime le plus dans mon corps. Elles sont musclées comme aiment les femmes. Je me retournai, et plus rien ne cachait mon sexe. Elle me regardait avec un sourire.

— Allez viens. Tu es un charmant jeune homme. Je n’aurais pas été mariée, je serai tombée dans tes filets, doux charmeur.

La voilà qui se moquait de moi. À moins qu’elle soit sérieuse. Elle souriait toujours autant et ne cessait de fixer mes yeux avec un certaine étincelle dans les siens. De temps en temps elle baissait le regard vers mon bas-ventre. Elle savait me mettre mal à l’aise. J’ai plusieurs fois rêvé de la voir nue dans mes fantasmes, mais me retrouver en position de faiblesse face à elle était assez bizarre. Un peu d’excitation, et beaucoup de gêne. Puis elle pourrait être ma mère.

Je m’approchai du lit. Elle leva le drap légèrement. Elle était allongée sur le rebord du matelas. Elle était belle dans son tee-shirt pyjama. L’autre côté du lit était bloqué contre le mur.

— Enjambe-moi. Je n’aime pas dormir de l’autre côté du lit.

Je fis comme je pus, et dans l’exercice, le bout de mon sexe glissa un court un instant le long de son bras nu. Elle ne réagit pas. Une fois allongé entre elle et le mur, je me mis de profil, le sexe face à elle. Vu l’étroitesse du lit, nous étions pratiquement collés. La lampe de chevet embrasait la pièce. ...