1. De bien belles vacances (7)


    Datte: 23/11/2020, Catégories: Transexuels Auteur: paul31, Source: Xstory

    ... poitrine, son sexe... Elle est toute douce, attentionnée.
    
    — Viens, allons nous coucher...
    
    Elle m’entraîne vers l’escalier, en souhaitant une bonne nuit aux autres.
    
    — Tu sais quelle chambre nous pouvons prendre, lui dis-je
    
    — Oh oui ! Tu sais ce n’est pas la première nuit que je passe ici. C’est vrai que c’est le plus souvent dans celle de Sarah et Jacques que je dors mais je connais toute la maison !
    
    A peine dans la chambre, elle me couche sur le lit et m’embrasse. Très vite, nous sommes en 69. Au-dessus de moi, elle me baise littéralement la bouche en me forçant à avaler sa belle queue au fond de ma gorge. Plusieurs fois j’ai l’impression que je vais étouffer. Je finis par la prendre entièrement. J’ai les yeux remplis de larmes, la bouche dégoulinante de salive. Carole me retourne sur le ventre en mettant un oreiller sous le ventre. En se posant sur mon dos, elle m’ouvre les cuisses en écartant ses genoux. Sa queue semble trouver le chemin de ma chatte toute seule. Elle me prend d’un coup alors qu’elle se couche sur moi. Sa poitrine s’écrase sur mon dos. Elle passe ses mains sous ma poitrine pour me saisir les pectoraux fermement. Elle donne de ...
    ... profonds coups de reins, plaquant son bassin contre mes fesses, poussant sa verge au plus profond de mon ventre. J’écarte largement les cuisses pour m’offrir encore davantage. Ses va-et-vient sont lents mais puissants. Complètement dominé sous cette femme phallique, je la laisse bien volontiers profiter de moi.
    
    Couché sur ce lit, je peux apprécier pleinement cette situation. Ma poitrine malaxée me donne l’impression d’avoir des seins aux tétons sensibles. Lorsque les coups de reins accélèrent, je sens un gain de vigueur dans ce pieu de chair qui me lime. Le gland se fait plus gros et masse mieux ma prostate. Ma queue durcie sous mon ventre frotte le drap au rythme des coups de reins. Son souffle court dans mon oreille ponctué de mots crus intensifie encore mon excitation. Elle se raidit soudain, poussant encore plus fort sur mes fesses, inondant mes entrailles de sa semence. La mienne coule aussi sous mon ventre. Je lâche un cri, la tête pleine d’étoiles.
    
    Couchés sur le côté, sa queue toujours en moi, nous récupérons doucement de ce dernier coït. Nous sombrons toutes les deux dans les bras de Morphée alors que d’autres cris s’élèvent de la chambre voisine. 
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