L'inconnue de la gare
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
toilettes,
noculotte,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Jean Merle, Source: Revebebe
Cela commence mal : mon train a eu une panne de loco, j’ai raté ma correspondance et je n’ai plus qu’à attendre 3 heures dans cette gare. Quelle plaie !
Alors que je cherche où prendre un café, mon regard est attiré comme un aimant par une belle femme à la silhouette si harmonieuse. Irrésistiblement, je ne peux m’empêcher de la suivre du regard. Ses jolies jambes sont gainées d’un collant soyeux vert avec une succession de motifs jaunes en formes de « ^ » qui forment comme des flèches invitant le regard à monter, à monter jusque sous sa robe ! Je dois avoir l’air bête à la regarder comme un collégien, la trouvant désirable, mais craignant d’être découvert.
Cela faisait bien un quart d’heure que ce petit jeu dure, quand une sonnerie retentit, la belle inconnue sort son portable. Son sourire se fige peu à peu. Puis elle prend un air vivement contrarié avant de raccrocher. À ma grande surprise, elle s’approche alors de moi en me disant :
— Depuis tout à l’heure, je vous vois tourner en rond. Vous cherchez quelque chose ? Je peux vous renseigner ?
— Euh, je cherche simplement où prendre un café !
— Si vous m’en offrez un, je vous montre un endroit bien plus confortable que cette gare…
— Euh, c’est gentil, mais je ne voudrais pas vous déranger !
— Alors c’est oui ou c’est non ?
— Alors c’est oui !
Dis donc, cette fille, non seulement elle est belle, mais en plus, elle n’a pas froid aux yeux. Elle m’emmène alors dans un hôtel luxueux à 10 minutes de marche. En ...
... chemin, elle m’explique qu’elle habite dans cette ville, qu’elle était venue chercher un ami à la gare, mais que celui-ci a eu un empêchement de dernière minute.
Nous nous installons sur les hauts tabourets de bar, tandis que je commande les deux cafés. Nous parlons de tout et de rien, elle m’explique ce qu’il y a à visiter dans cette ville. Je lui parle de mon boulot et des multiples déplacements qu’il nécessite. Puis, une fois encore, c’est elle qui prend les devants :
— Si je ne me trompe, à la gare, vous n’arrêtiez pas de regarder mes jambes ?
Gêné, je réponds d’une voix peu assurée :
— Euh oui, je trouve que les motifs de vos collants sont très originaux… et très esthétiques !
— Mais qu’est-ce qui vous dit que ce sont des collants ?
Tout en parlant, elle pivote sur le tabouret et rapproche ses jambes contre les miennes comme une invite. Je baisse les yeux, j’hésite, puis je finis enfin par poser ma main sur son genou en bafouillant :
— Quoi qu’il en soit, ils sont aussi doux au toucher qu’agréables à regarder !
— C’est aussi très agréable quand des mains douces caressent mes jambes au travers !
Ainsi encouragé, je n’écoute plus vraiment ses commentaires sur les musées de la ville, me concentrant sur mes caresses sur ses genoux. Elle continue à parler en me souriant. Mes doigts remontent alors peu à peu sur ses cuisses, suivent l’invitation des motifs jusque sous sa robe, progressent encore plus haut. C’est ainsi que ma main atteint la lisière des ...