1. Un copain d'internet (1)


    Datte: 22/11/2020, Catégories: Hétéro Auteur: Emilie 73, Source: Xstory

    ... des sensations nouvelles. J’essayais d’en profiter.
    
    Il se remit à m’embrasser tout en me faisant l’amour. J’avais l’impression que sa salive coulait dans ma bouche. Puis, sentant peut-être l’ennui chez moi, il se releva, me contempla un long moment avec son sexe encore planté dans mon corps. Il finit par l’enlever et, me tapant sur les fesses, me fit comprendre qu’il souhaitait un peu de levrette.
    
    J’obéis, je me mis à quatre pattes, la croupe fière et offerte, le sexe accueillant. Il me prit par les hanches, me ramena plus près du bord du lit et, debout, appuya sur son sexe pour le guider vers l’entrée de mon vagin. Il s’y engloutit, et la machinerie repartit de plus belle. Ses mains crispées sur mes hanches, à me faire mal, il me prenait comme un jouet. Je sentais qu’il n’en pouvait plus.
    
    — Mmmm... vas-y... fais-toi plaisir...
    
    — Putain, t’es trop bonne, je vais pas tenir...
    
    Sur ce, il sortit son sexe, m’agrippa par les cheveux et me força à me retourner. Je me retrouvai avec son sexe en face de mon visage, il avait enlevé la capote. Il eut à peine à le secouer, le jet de sperme heurta mon visage et me remplit la bouche. Je contemplai ce ...
    ... sexe qui déchargeait trois ans de frustration, par giclées rapides et fluettes. Il eut au moins dix secousses, dix giclées, qui toutes atterrir impeccablement sur ma langue. Ma bouche pleine de son sperme, je le regardais en levant les yeux vers lui. Il avait la tête penchée en arrière pendant son plaisir.
    
    Quand il eut fini de décharger sa semence, il me regarda comme pour me supplier de ne pas gâcher son précieux hommage. Je l’avalai tout entier, et, d’un doigt, je rassemblai le peu qui avait raté ma bouche, pour tout finir. Le spectacle lui plut.
    
    Encore à genoux au pied du lit miteux, je regardais son sexe revenir au repos.
    
    Il m’invita à me lever.
    
    — Merci, c’était trop bon.
    
    — Oh oui, répondis-je faussement alors que je réalisais que je n’avais même pas pensé à essayer de jouir pendant tout ce temps.
    
    J’étais contente de lui avoir fait plaisir, de lui avoir servi de défouloir sexuel et d’avoir récolté son sperme pour ne pas le gâcher. Bêtement, je m’étais sentie utile.
    
    On se quittait comme ça, pressé qu’il était d’aller retrouver ses collègues pour une soirée, il m’avait presque mise à la porte. Pour le romantisme, on ira voir ailleurs... 
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