Le déjeuner chez Samia - Histoires de Sexe

Le déjeuner chez Samia

... obligée de retourner à la douche, tu décides gentiment de la nettoyer avec ta langue. Les fesses d’abord, puis le trou du cul, qui est encore un peu ouvert et dans lequel tu rentres ta langue. Tu es une grosse salope ma chérie. Samia est impressionnée. Elle se croyait la plus cochonne des deux, mais tu viens de lui montrer qu’elle avait probablement tort.

Je file sous la douche pendant que vous vous rhabillez. Vous mettez le couvert. J’ouvre trois bières et une bouteille de rosé. Le repas est délicieux, les meilleursfalafels du monde. Nous sommes heureux. Manifestement Samia avait un petit manque de sexe et elle en a eu. À la fin du repas, nous prenons des cafés. Les bouteilles sont presque vides. Nous allons sur le canapé. C’est un moment merveilleux, nous sommes dans cet état où on sent que la sieste est proche. Samia te dit un truc à l’oreille et vous me dites :

— On va faire la sieste dans la chambre, tu peux rester sur le canapé.

Mais sans point d’interrogation à la fin de la phrase. Dans l’état où je suis, de toute façon, je n’ai rien contre une sieste sur le canapé, même si je ne pourrais pas voir ce qui se passe dans la chambre.

Je me réveille une heure plus tard, et je n’arrive pas à résister : je vais voir ce qui se passe dans la chambre. J’entrouvre la porte, mon regard prend un certain temps à s’habituer à l’obscurité. Et là je vois deux femmes en train de… dormir ! Peut-être n’ai-je rien raté ? Je vous regarde dormir.

Quelques minutes plus ...

... tard, sentant ma présence peut-être, tu ouvres les yeux. Tu me souris. Tu me fais signe d’approcher du lit, je m’allonge à côté de toi et nous faisons un câlin. Très calme. Enfin, au début. Car après quelques minutes de quasi immobilité, tu commences à me faire des bisous sur les lèvres, dans le cou, sur les tétons, sur le ventre, tu descends encore, et voilà que tu te mets à me sucer. Ma bite durcit dans ta bouche, lentement mais sûrement. Nous n’avons pas vu que Samia était réveillée. Elle nous regarde en souriant. Décidément elle se rend compte de quelle salope tu es.

Va-t-elle te montrer comment elle suce ? Quelle super-méga-cochonne elle peut être ? En tous cas, quand elle fait un mouvement pour s’approcher, tu l’arrêtes tout de suite. Tu lui dis :

— Keep on your back, don’t move.

Tu te relèves, tu me relèves, et tu me dis d’aller me faire sucer. Dans cette position, j’enjambe donc Samia, mon cul sur ses gros nichons, et j’avance ma bite vers sa bouche. Elle passe sa langue sur le bout, mais tu me dis :

— Non, enfonce-toi bien, baise-lui la bouche.

Ok, j’obéis, tu me connais. Je me soulève légèrement je commence à m’enfoncer dans sa bouche, jusqu’à ce qu’elle ait tout pris. Je suis bien là, je ne bouge pas beaucoup. Je me retire, me ré-enfonce, je lui baise la bouche mais très doucement. Et là, je sens un truc familier derrière moi : tu es en train de me faire un pétale de rose, cochonne !

Samia ne comprend pas bien ce qui se passe, si ne n’est que tu es ...