La voisine
Datte: 22/11/2020,
Catégories:
fh,
ff,
poilu(e)s,
lunettes,
vacances,
piscine,
douche,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
uro,
confession,
couple,
Auteur: Lacan, Source: Revebebe
... prononcée, tu le sais bien, ma coquine. C’est surtout sa voix, qui m’y a fait penser. Rauque et sensuelle… j’ai imaginé ce qu’on doit entendre quand elle prend son pied…
— Vraiment obsédé, ce mec…
— Tu sais, ça me rappelle, l’autre fois à la télé, cette écrivaine, assez mignonne d’ailleurs, qui confessait qu’elle aimait écouter les « bruits de l’amour », une jolie expression. En fait entre nous, ces bruits viennent surtout des femmes, les hommes se contentent de souffler et grogner. Les femmes, ça halète, ça gémit, ça finit par crier comme des bêtes…
— C’est pour moi que tu dis ça ?
— Pour toi et pour les autres, tu te souviens à l’hôtel, en Guadeloupe, avec la cloison hyper mince, la musique que nous avait jouée la bonne femme d’à côté ? Tu es d’accord que ça nous avait bien mis en condition, non ?
— Oui, j’avoue que ça avait été très chaud.
— Donc, voilà, je fantasme sur vous deux. Car vois-tu, ma petite chérie, je n’ai pas oublié ce que tu m’as déjà évoqué plusieurs fois, tes petites séances avec ta copine de dortoir, au pensionnat…
— Vieille histoire, il y a prescription, Votre Honneur… Mais là, ça donnerait quoi, comme scénario ?
— Ah tu vois, ça t’intéresse, tu as envie que je te raconte, c’est ça, hein petite cochonne ?
— Pourquoi pas, mais je crois que tu en as encore plus envie que moi, non ?
— Alors voilà. Elle serait venue se baigner, mais seule, ses enfants étant à leur cours de tennis. Moi, je serais allé faire mon tour à vélo, et vous vous seriez ...
... donc retrouvées à la piscine dans une certaine intimité.
— Ça commence comme un vrai roman. J’attends quelle suite ton esprit tordu va pouvoir imaginer…
— Non, n’exagérons pas, ce n’est qu’une modeste nouvelle. Alors, voyons comment les choses vont se passer. Au bout d’un petit moment, elle t’aurait proposé : « Comme nous ne sommes que toutes les deux, nous pourrions faire du topless, non ? ». Et tu aurais dit « D’accord ». En réalité, tu avais envie de voir comment étaient ses seins, dont je t’avais tellement bassinée.
— C’est vrai, en plus, j’aimerais voir s’ils sont si bien que ça, après tout…
— Tu vois, donc c’est très plausible. Aussitôt dit, aussitôt fait, vous dégrafez vos soutiens-gorge et vous vous exhibez mutuellement votre poitrine. Et là, elle s’exclame : « Oh là là, qu’est-ce que vous avez de beaux seins qui se tiennent ! Alors vous, pas de problème pour le test du crayon ! Vous en avez de la chance, moi ils sont trop gros, bien trop lourds ».
— Ah bon, tu connais ça, le test du crayon (*), toi ?
— Culture générale, ma petite.
— Et donc elle, tu penses qu’elle ne passe pas le test ?
— Sûr que non, avec sa poitrine remuante. C’est ça qui me plaît, moi j’aime quand ça bouge, quand ça ballotte. Donc vous passez le reste de la baignade comme ça, seins nus, agréablement. Ça te plaît de voir les siens, leur volume et leurs mouvements te fascinent un peu, et de ton côté, tu n’es pas indifférente à ce qu’elle regarde les tiens avec envie… et peut-être désire…
— ...