1. La voisine


    Datte: 22/11/2020, Catégories: fh, ff, poilu(e)s, lunettes, vacances, piscine, douche, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, uro, confession, couple, Auteur: Lacan, Source: Revebebe

    ... ce sont tes charmes qui me font de l’effet… Oui, ça peut être excitant, mais pas souvent en définitive. Le problème est que sur la plupart des sites les bonnes femmes suivent une mode imbécile qui consiste à se raser la chatte. Et moi s’il n’y a pas de poils, ça ne m’intéresse pas. Surtout les trucs de jeunes, avec des lèvres serrées, qui ressemblent à des minous glabres de gamine de dix ans. Il doit falloir être un peu pédophile pour être excité. Elles font ça sous prétexte d’encore mieux montrer leur fente, mais c’est vraiment dommage, rien ne vaut un joli triangle frisé qui laisse juste deviner plutôt qu’exhiber, le meilleur est dans le rêve. Vive la foufoune, merde !
    — En tout cas, rêve ou pas rêve, moi, sur les plages, ma foufoune, tu ne la verras plus, car ce maillot, je ne le mettrai plus, c’est clair.
    — Ça, j’en étais sûr. J’aurais dû me taire, on est toujours trop bon, et il n’y a qu’une lettre de différence avec con…
    — Et alors, dis-moi, pour la voisine, tout à l’heure, ça a fait pareil que sur moi, c’est ce que tu attendais, mon cochon ?
    — Exactement. J’étais sorti de l’eau avant elle, pour bien me placer en face de l’échelle, pour quand elle sortirait de l’eau. Et je peux te dire deux choses. D’une part qu’elle a de gros bouts de seins sombres comme je les aime, d’autre part qu’elle a une peau de rousse, mais que c’est une vraie brune. Fournie et frisée, comme je les apprécie aussi.
    — Salaud de voyeur ! Alors toi et tes histoires de poils !
    — Eh bien oui, ...
    ... j’assume mes goûts. Un joli triangle de poils, de préférence sombres, bien taillé sur les bords, je n’aime pas que ça dépasse des dentelles, et qui se prolonge de chaque côté de la mignonne fente brune qui ne demande qu’à s’ouvrir comme une fleur rose…
    — Quelle poète ! Mais c’est vraiment ce que j’appellerais de la poésie de fond de culotte… Et des poils, je suppose qu’il t’en faut aussi jusque dans la raie duc’, mon cochon ?
    — Ah non, surtout pas ! Le petit trou doit être tout nu, lui ! Tu le sais bien, ma cochonne, ça facilite la besogne de la langue…
    — Mouais… Et donc ma copine Chris, elle t’excite parce qu’elle a plus de poitrine et qu’elle est plus poilue que moi, c’est ça ? Ça ne serait pas le syndrome de la femme d’à côté, ça ?
    — Ne sois pas jalouse ! Tu sais bien que j’adore tes jolis petits nichons et ta touffe de vraie blonde !
    — Vas-y, drague donc, rattrape-toi, espèce de macho !
    — Mais être amoureux d’une blonde à petits seins n’empêche pas de fantasmer un peu, par contraste, sur une brune à belle poitrine. Tu sais, toujours ce vieux rêve de branlette espagnole, les Ibériques, c’est ce qu’ils ont inventé de mieux avec l’auberge.
    — Quelle auberge ?
    — La fameuse auberge espagnole, pardi !
    — En tout cas, je tolère tes lubies tant que ça reste dans la catégorie « fantasme non réalisable », comme tu dis.
    — Je te rassure, ma chérie, ce n’est que ça.
    — Mais dis-moi, comme je te connais, vieux cochon, j’y pense, il n’y avait peut-être pas que Madame Beauxnichons ...
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