1. Le maître du monde (2)


    Datte: 25/04/2018, Catégories: Divers, Auteur: Irina, Source: Xstory

    ... plusieurs claques sur les fesses sans vraiment chercher à me donner du plaisir, seulement à prendre le sien.
    
    Je n’en menais pas large. Le récit de Chris m’excitait au plus haut point et j’avais moi aussi commencé à me caresser. Et l’addition des deux ressentis décuplait mon plaisir !
    
    — Finalement, il s’est retiré au moment critique et s’est vidé sur mon dos. J’étais assez déçue, je me demandais si j’allais pas être obligée...de me finir...toute seule...comme maintenant, mmmmm...mais soudain, j’ai senti un jet de liquide tiède sur mon dos. Il était en train de me pisser dessus !
    
    Dans mon salon, je sursaute ! Puis la jouissance me ravage ! Putain, elle est en train de raconter ce qu’elle m’a confié l’autre jour au cimetière. Mais ce qu’elle oublie de dire, c’est que c’était une passe professionnelle quand elle se livrait à la prostitution, une baise rémunérée, et que le gars en question était un haut fonctionnaire de l’état !
    
    — Et qu’as-tu ressenti ?
    
    — J’étais furieuse, je me sentais humiliée, comme si on m’avait marquée comme un objet ou un animal domestique, comme si je devenais la propriété de quelqu’un. Alors, comme il s’apprêtait à se retirer, je lui ai dit, « minute papillon, je n’en ai pas fini avec toi ! » Il a été surpris, mais il s’est laissé faire. Je l’ai chopé et renvoyé sur le lit. Je lui ai fait une fellation, juste pour qu’il retrouve un peu de vigueur, et je me suis empalée sur lui. Et pendant que je le chevauchais, je me suis laissée aller, je ...
    ... me suis rapidement retirée, j’ai collé ma chatte sur son visage et je lui ai dit « allez, lèche-moi, c’est mon tour ! ». Quand il s’est rendu compte que je lui pissais dans la bouche, il a paniqué, il a protesté, il a fait « Non ! Non ! » Mais je l’ai fait taire, je lui ai claqué les fesses et je me suis vidée. Il était stupéfait. Apparemment, c’était un dominateur, il était coutumier du fait, mais on ne lui avait jamais rendu la pareille. Et j’avais envie de me venger. Alors je lui ai rendu un peu de vigueur et cela a été mon tour de l’humilier. Je l’ai fessé, je l’ai dominé, je l’ai torturé, je lui tordais les tétons, je lui écrasais les couilles, je l’ai baisé en cherchant à lui faire mal, je l’ai fait jouir plusieurs fois jusqu’à sec, je lui ai à nouveau pissé dessus. Au début, il protestait, il cherchait à m’échapper, mais...je suis assez tonique. J’ai fini par lui fister le cul, j’en ai fait une lavette. Il pleurait au début, mais à la fin il me suppliait de l’humilier encore plus. Je lui ai même mis une laisse et je l’ai promené dans mon appartement comme un petit chien.
    
    John se mit à rire.
    
    — Eh bien, pour une première, c’est pas mal ! Tu n’as pas exagéré un peu ?
    
    — Non, John, tout est vrai, je te le jure.
    
    — Je te crois...tout simplement parce que tes yeux disent la même chose. Qu’as-tu ressenti pour la suite ? Je veux dire, y a-t-il eu d’autres fois ?
    
    — Mon ressenti ? C’était bizarre. J’étais furieuse de ce qu’il m’avait fait...et ravie de ma vengeance. ...