Les carnets intimes d'Eloïse (3)
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Eloise22, Source: Xstory
... robe pour remonter le long de mon collant et caresser mes fesses. Sa main cherche ensuite le haut du sillon de mes fesses et s’assure de sentir un triangle de tissu. Puis, satisfait, il la ramène sur ma taille. Son étreinte s’arrête et nous enfilons nos manteaux pour sortir.
Aussitôt, la porte d’entrée ouverte, un air frais s’engouffre entre mes cuisses. Surprise de cette sensation, je sursaute avant de prendre la main qu’Antoine me tend. Nous allons jusqu’à la première station de métro qui est bondée en ce samedi de fin novembre. Sur le quai, je me rends compte que j’attire les regards de quelques hommes du plus jeune au plus vieux. Cela m’excite et me met mal à l’aise en même temps. Heureusement que je ne suis pas seule, mais au bras d’Antoine. Dans le métro, le bras d’Antoine m’est également bien utile pour tenir en équilibre sur mes talons.
20h15 : nous arrivons dans un restaurant chinois où Antoine a réservé. Le repas est bon et se passe bien. Nous quittons le restaurant vers 22h30 et rentrons à l’appartement toujours en métro. Il y a un petit peu moins de monde et nous trouvons tout de suite des places assises. Dès que je m’assieds, je vois trois jeunes hommes de notre âge en face de moi qui me matent et échangent des propos dont je suis certaine d’être le sujet. Leurs regards se portent directement vers mes cuisses ou plutôt entre mes cuisses, essayant certainement de voir plus qu’ils devraient. Ma robe étant très courte, je peux difficilement changer de ...
... position pour leur montrer un spectacle moins intéressant. Si je croisais les jambes, ils verraient encore plus mes fesses. Lorsque je fais part de ma gêne à Antoine, il me fait remarquer qu’il a aussi vu le manège des jeunes gars et que cela a plutôt tendance à lui plaire.
Mes gros yeux à son encontre n’y feront rien, et je devrais passer trois minutes assez longues à être un objet de désir pour ces inconnus.
L’air frais à la sortie de la bouche de métro me fait du bien après les émotions négatives vécues. Nous marchons à nouveau main dans la main, croisant quelques couples ou personnes allant en soirée. Passant devant un square à quelques rues de notre appartement, Antoine me tire par la main pour me faire passer la grille d’entrée et m’aventurer dans une allée gravillonnée où mes talons se dérobent quelque peu. Quelques mètres plus loin, il m’entraîne derrière un arbre puis m’appuie sur une épaule.
— Allez, baisse-toi ma petite salope, dit-il.
Il défait sa ceinture et déboutonne son pantalon, je comprends rapidement ce qu’il attend de moi, mais il ajoute quand même :
— Allez, viens sucer ma belle queue ! Tu m’as trop excité ce soir avec ta petite robe et tes talons.
Maintenant, je sais y faire...Alors, je prends sa bite dans ma main et j’approche doucement mon visage en le regardant dans les yeux. Je tire la langue et je commence à laper son gland décalotté. Je joue de cette façon quelques secondes, juste pour le rendre bien dur. Puis je parcours toute la ...