1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1086)


    Datte: 21/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
    
    - Suis ton instinct, Isabelle… me disais-je…prenant tous les risques…
    
    Et oui, je me reconnais bien là, en cet instant, esclave mais entêtée et vexée, incorrigible et excitée !… Je sentais monter en moi ce que les athlètes appellent la gnac de la gagne, ce petit supplément d’adrénaline qui leur fait donner au moment opportun le coup de reins nécessaire à la victoire. C’est je pense ceci qui m’excitait de savoir la satisfaction du Maître car il me faisait comprendre par ses gestes que j’étais dans les temps… Le troisième tour finissait, 1200 mètres étaient couverts. Il restait 300 mètres… Vexée que j’étais de ma mauvaise performance précédente, mariée aussi de l’image que j’avais donnée de la femelle devant les amis du Maître, selon mon caractère de frondeuse, de Pur-Sang fougueuse, d’amoureuse de la gagne et uniquement de la gagne, aux prix de tous les risques, je décidais de… décider toute seule sans attendre le signal de Monsieur le Marquis pour les derniers cents mètres. J’en étais à couvrir les 100 mètres suivants après les 1200 déjà parcourus. J’allongeais légèrement ma foulée, me tassait très doucement sur mes cuisses, et commençais à accélérer la cadence des jambes. Je lâchais déjà les « chevaux » tout en tenant les rênes… J’avalais ces 100 mètres avec une facilité déconcertante tout en ignorant les grands signes du Noble que je voyais bien mais que je faisais ...
    ... semblant de ne pas voir, tête de mule que je suis... Restaient deux-cents mètres à parcourir. J’accélérai encore lâchant un peu plus la bride de mes jambes… Alors que mon entre cuisses était de plus en plus trempé d’excitation, je parlais à mes jambes :
    
    - Allez, mes belles, allez ! Vous allez y arriver parce que je vous connais, vous êtes les meilleures ! Attendez encore un peu, je vais tout lâcher et vous pourrez vous laisser aller, vous allez montrer à Maître à et à ces hommes ce que vous savez faire.
    
    Ce cent mètres fut avalé en si peu de temps que Maître déjà fouettait l’air de sa cravache en signe de fureur totale. Mais je pris le parti de ne pas en tenir compte : Il me restait cent mètres à faire, en moi, je disais à mes jambes :
    
    - Allez mes belles, donnez tout ce que vous pouvez et Vous aussi Maître, faites-moi confiance, je vais vous rendre fier…
    
    Jamais je n’ai terminé un 1500 mètres aussi aisément. J’avais tout lâché, ma foulée était si longue que je croyais que mes jambes avaient doublé de longueur. Mes orteils, pourtant si légers sur la piste, allaient chercher encore plus loin le point d’impact me propulsant dans la foulée suivante, mes muscles de fesses et de cuisses étaient à fond, mes seins même semblaient vouloir participer à la gagne, les poings serrés de rage, mais de rage contenue, je terminais en boulet de canon, jamais ce terne n’étant aussi bien utilisé. La ligne d’arrivée passée, il me fallut plus de 80 mètres pour retrouver un rythme plus lent ...
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