1. Cousine Zoulikha Première partie : ma découverte d


    Datte: 20/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Humour Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... J’en avais honte et me fis une espèce de complexe. Je lui demandai pourquoi elle n’avait pas aimé être pénétrée par moi. Elle ne répondit pas. Elle se contenta de me sourire et de regarder son compagnon avec un regard qui semblait dire beaucoup de chose : la fierté d’avoir fait ce que lui voulait qu’elle fasse : il l’avait offerte à un garçon et elle avait accepté ! Il avait exigé d’elle qu’elle avale mon sperme et elle l’avait fait ! Il la voulait à genoux devant lui et moi, elle s’était mise à genoux !
    
    Ce fut Zoulikha, quelques moment plus tard, quand tout le monde se retrouva rassasié et assis, qui sur le canapé qui sur les fauteuils du salon, qui m’expliqua que Jacqueline n’aimait pas faire l’amour avec les hommes. A l’exception de Marc, qui lui était son maître et parfois seulement son amant, elle n’appréciait pas d’être pénétrée par le sexe d’un homme. Si elle m’avait laissé faire, c’était par amour pour elle, Zoulikha, et par obéissance à Marc, son maître. Je n’avais donc pas à me formaliser de son manque de réaction à mes coups de boutoir.
    
    - Mais elle a une chatte merveilleuse, élastique, chaude et moulante ! Faites pour accueillir un zob et l’emmener ...
    ... au paradis ! Ce n’est pas normal qu’elle n’aime pas se faire tirer avec une telle chatte !
    
    - C’est comme ça !
    
    Nous restâmes ainsi environ deux heures à discuter de tout et de rien. Marc avait repris ses corrections des copies de ses élèves et Zoulikha resta assise à même le parterre, à le regarder avec des yeux pleins d’amour et de tendresse. Le même regard, que Jacqueline lui portait à elle! A un moment la sonnette de la maison retentit et Jacquie partit ouvrir. C’était deux amis du couple, des coopérants eux-aussi, qui étaient venus prendre l’apéritif. Trouvant Zoulikha à la maison tous les deux se précipitèrent sur elle et l’embrassèrent avec enthousiasme. Ils semblaient la connaître très intimement; ils la tripotaient en même temps qu’ils l’embrassaient et discutaient avec elle. Elle ne semblait ni gênée, ni incommodée. Au contraire, elle semblait apprécier la présence des deux hommes. Ses yeux se remirent à briller. Je commençais à bien connaître la signification de ces yeux qui brillaient de luxure. Elle avait reniflé le sexe et en bavait par avance !
    
    Mais ceci est une autre histoire qui me fit découvrir jusqu’où la nymphomanie de Zoulikha pouvait aller. 
«12...12131415»