Jeannine
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Auteur: ahtile, Source: xHamster
... les traces du plaisir qu’elle avait eu lors de mes baisers et caresses. Etait-elle au bord de la jouissance par mes seules caresses et baisers. Avait-elle jouie en silence, en se contrôlant. L’état de l’intérieur de ses cuisses et la viscosité de son sexe me le laissait penser, d’où ses tremblements, signes classiques de l’hypersensibilité d’un sexe après la jouissance.
Même si je n’avais plus beaucoup de doute sur le fait qu’elle est atteint son premier orgasme très rapidement et très facilement, je continuais à fouiller son sexe de la langue, en profondeur, mais aussi en surface, glissant sur ses lèvres gonflées par le plaisir, son bourgeon bandé. Son corps ne cessait de trembler. Ces tremblements étaient accompagnés de petits gémissements. Appuyée sur les coudes, elle se laissait dévorer. Moi, je la dégustais. La pointe de ma langue, pressant et insistant sur son bourgeon, a eu raison de son deuxième orgasme. Ses jambes se sont brutalement crispées, son corps s’est raidi, ses petits gémissements sont devenus rauques et ma bouche a profité de la nouvelle crue de sa source de plaisir.
Sans attendre la fin de ses spasmes ni qu’elle ait retrouvé une respiration normale, je me relève et la pénètre violement jusqu’à la garde. La pénétration lui fait pousser un cri puissant. Mais vue la facilité avec laquelle mon sexe a écarté ses nymphes gluantes, je savais qu’il ne s ‘agissait pas de douleur, seulement l’effet de surprise. Mes derniers doutes sont levés lorsqu’elle me ...
... dit, après deux ou trois lent va et vient :
« vous me remplissez si bien, c’est si bon »
Je la limais lentement, sur toute la longueur de mon sexe, dans toute la souplesse et la profondeur du sien, la main gauche posée sur sa hanche droite et la main droite soulevant sa fesse droite pour ouvrir au maximum sa fente d’amour. Mon rythme était lent mais efficace, elle gémissait en subissant mes assauts et je contrôlais le bouillonnement de ma sève.
A peine deux à trois minutes de ce traitement et la voilà reparti. Crispation, spasmes, accélération de la respiration, cris rauques et tremblements, elle jouissait de nouveau. Combien de temps allait-elle tenir à raison d’un orgasme toutes les cinq minutes ? Elle jouissait bel et bien, je sentais son plaisir s’écouler de son vagin, longer mon mandrin et goutter de mes couilles pour s’écraser au sol. Je n’arrêtais pas pour autant mon traitement profond, mais toujours lent, sentant l’irruption proche. Mais la position de Jeannine, un pied au sol, son corps coincé sur le plan vasque entre lavabo et le robinet, malgré les plaisirs multiples, devait insupportable. Elle était au bord de la crampe, mais moi je n’avais toujours pas tiré la mienne.
A sa demande, je me retire immédiatement. Le vide créé dans son vagin et le fait de se remettre debout, occasionna une succession de petits claquements, faisant penser à de petits pets et faisant rougir de honte Jeannine qui me faisait maintenant face. Je la rassurais immédiatement en lui ...