Jeannine
Datte: 25/04/2018,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Auteur: ahtile, Source: xHamster
... morceau de dentelle qu’elle laisse tomber sur l’épaisse moquette de la chambre. Plaquée contre moi, elle entreprend un long déboutonnage de ma chemise, long, parce qu’elle quitte mes lèvres pour poser des centaines de baisers sur mon torse au fur et à mesure qu’il lui apparaît. Après quelques minutes à nous embrasser tous deux torses nus, nous terminons nous même de nous dévêtir. Je peux enfin voir cette opulente poitrine, beaucoup plus grosse que je l’avais imaginée. Ses seins sont lourd, mais avec une très belle tenue, ils ne tombent pas, les aréoles brunâtres surmontées de gros tétons bruns regardent fièrement droit devant. Ce doit-être un bon 90 E. Elle est descendue de ses 10 cm de talon et a retiré sa jupe, nous sommes face à face, moi en caleçon, elle en culotte de dentelle. Simultanément, nous attrapons notre dernier vêtement et le retirons.
Son regard est figé, mais elle ne me regarde pas dans les yeux, et fini par lâcher quelques mots :
« Non de Dieu, je n’ai jamais vu un engin pareil…, à part dans les films… »
« Ne vous inquiétez pas… »
« Je ne suis pas inquiète du tout, je trouve ça magnifique et je n’aurai jamais imaginé pouvoir jouer avec, un jour, dans ma vie. Un rêve. »
« Parfait alors, nous pouvons passer sous la douche »
Je lui prend la main, et l’emmène dans la salle de bains. Nous passons sous l’eau chaude, nous nous savonnons mutuellement le dos, la poitrine, le cou, et tout le corps. Jeannine hésite, puis fini par att****r mon sexe ...
... en demi érection pour le savonner à deux mains et avec une extrême délicatesse, comme s’il s’agissait d’un objet fragile et sacré. L’effet est instantané, mon membre atteint sa taille de vol long courrier. Elle est subjuguée, s’agenouille telle une bigote devant un cierge, le manipule un coup à droite, un coup à gauche, le contemple, le cajole.
Je me penche sur elle, empaume ses deux énormes seins, les caresses, les malaxes. Mes mains glissent sur sa peau savonneuse. Et je lance en lui montrant du regard ses seins :
« Je peux ? »
« Vous pouvez tout »
Elle a compris immédiatement ou je voulais en venir, se relève légèrement sur ses genoux, relève légèrement la tête et bombe le torse. Elle empaume ses deux beaux melons et vient les serrer autour de ma verge tendue. Ma queue est bien enveloppée dans cette vallée des merveilles. La douceur de sa peau et l’eau savonneuse augmentent la volupté du moment et plus rien ne peut retenir les mouvements de mes reins. Mes mouvements sont lents et amples, mon gland disparaît dans cette voluptueuse vallée de douceur, pour réapparaitre et venir frôler le cou et le menton de Jeannine. Je profite quelques minutes de ce délicieux moment de bonheur et de plaisir presque solitaire, puis sentant la pression bouillir au fond de mes couilles, je me ressaisi pour éviter de passer pour un goujat dès notre première relation, en lui éjaculant sur les seins et le visage. Cette délicieuse branlette espagnole ne pouvait pas se terminer par une ...