1. Lettres d'une femme mariée - 8


    Datte: 19/11/2020, Catégories: Collègues / Travail nympho, collection, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, confession, Auteur: Lauriolan, Source: Revebebe

    ... mon état de semi-conscience, à un viol. Mais une fois encore, je n’avais aucun désir de me dérober à son étreinte. J’ai serré, au contraire, fermement mes mains sur son crâne pour qu’il épouse plus intimement la profondeur de mes chairs. Je le voulais en moi, et maintenant c’était par sa langue qu’il pouvait me combler le plus magistralement. Il m’a lapé la vulve avec une énergie désespérée.
    
    Après ma tristesse d’avoir à vivre l’abandon, je perçus la sienne qui paraissait aussi intense. Il s’agrippait à mes jambes comme s’il ne voulait jamais se libérer de cette étreinte, avec la volonté évidente de m’empêcher de me dérober. Mais j’étais entièrement avec lui, tout contre lui… et j’aurais aimé le sentir davantage encore. Libérée soudainement du chagrin de la séparation, j’aurais tellement aimé pouvoir lui offrir le témoignage absolu d’un désir fusionnel. S’il avait pu s’engloutir entièrement dans mes chairs pour que je le protège de façon ultime et le rassure sur mes intentions, je me serai laissé faire… pour vivre avec lui une sorte d’accouchement à l’envers.
    
    Je percevais bien la part de folie dans cette offrande sans limite que j’aurais aimé pouvoir offrir à mon amant adoré. Mais il n’y avait plus que ce plaisir qui me submergeait, celui de le sentir entre mes jambes, assoiffé de mon jus.
    
    Je voulais qu’il me boive et je commençais à jouir sous l’effet de sa langue qui me lapait sans répit. J’ai senti un petit jet d’urine s’écouler de ma chatte mais, loin de ...
    ... vouloir contenir cette sécrétion qui résultait pareillement de ma jouissance, je me laissais aller à pisser dans sa bouche.
    
    Je me sentais heureuse de me vider en lui, de flatter ses muqueuses de mon urine brûlante. De le pénétrer à ma façon, comme je ne l’avais jamais fait avec aucun homme. Je ne voulais pas l’humilier. Je voulais lui offrir un cadeau tout personnel. Je répondais ainsi à son emprise sauvage et dominante en le dominant à mon tour, répondant à la surprise de ses actes par une autre surprise. J’avais la confuse conviction qu’il fallait lui offrir quelque chose d’insolite et de déroutant.
    
    C’est pour cela aussi que je me suis dégagée de ses tendresses buccales sur ma chatte, afin de pivoter derrière lui pour le masturber, pendant que je massais la raie de son cul. Il n’a pas tardé à éjaculer une toute petite flaque blanche sur le cuir du canapé, dont je me suis badigeonné les lèvres comme s’il s’était agi d’une crème de beauté… avant de lécher ces dernières pour ne pas perdre une goutte !
    
    Malgré tout ce qui s’était passé, j’étais donc parvenue, non sans fierté, à le faire jouir moi-aussi. Et je lui étais redevable de m’avoir gardée près de lui, même si cela l’avait été par la force. Je me sentais sa chose, et j’ai éprouvé le besoin de lui évoquer tout ce que j’avais vu de lui avec ces autres femmes. Il n’a pas paru gêné. Il m’a confié qu’il savait que cela arriverait un jour, mais il m’a aussi avoué qu’il n’avait pas osé espérer que d’une certaine façon j’y ...
«12...456...10»