Chantal (8)
Datte: 19/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
Chantal 8
Le voyage de sœur Agnès vers l’évêché
(suite de l’histoire de sœur Agnès).
Monseigneur me fait me lever, mais il me garde près de lui en me tenant par la main qu’il pose sur son gros sexe ; ma petite main n’en fait pas le tour, et ce sexe la brûle comme un tisonnier chauffé à blanc. Dans mon hébétude, j’entends vaguement monseigneur dire à mère Cécile « Je la prends avec moi à l’évêché afin de la former. »
— Allez chercher quelques affaires et revenez me voir.
J’enfile ma robe et je rejoins ma cellule où je fais un petit sac ; je mets ma pèlerine et retourne au bureau de mère Cécile. Quand j’entre, tout le monde est rhabillé. Ma mère me dit :
— Sœur Agnès, vous allez partir pour quelque temps avec monseigneur pour une formation qui vous sera utile, et aussi pour le plaisir de monseigneur.
Monseigneur précise :
— Retirez votre robe et ne gardez que votre pèlerine : vous devez toujours être prête à donner et recevoir du plaisir.
Je retire ma pèlerine et ma robe que mère Cécile me prend des mains pour la fourrer dans mon sac après en avoir vérifié le contenu. Elle retire culotte et soutien-gorge en me disant « Vous n’en aurez pas besoin pour votre formation. »
Je n’ai donc plus que ma guimpe, mon voile et mes sandales. Après m’avoir flatté les fesses, monseigneur me remet ma pèlerine et nous prenons congé de mère Cécile. Je m’emmitoufle dans ma pèlerine afin de ne pas me montrer nue pour traverser le couvent, mais arrivés à la voiture, ...
... monseigneur me retire la pèlerine.
— Pour ce que nous allons faire durant le trajet, vous n’en avez pas besoin.
Je m’engouffre dans la limousine pour poser mes fesses sur le cuir froid de la banquette arrière. J’en frissonne. Tandis que le vicaire se met au volant et démarre, monseigneur m’attire sur lui et je prends place sur ses genoux. Après m’avoir assise nue sur lui, il me fait écarter les jambes en me disant :
— À partir de maintenant, c’est où je veux, quand je veux, et comme je veux. Vous êtes ma petite nonne salope – disons même ma femelle – le temps de votre séjour à l’évêché !
Je suis à peine installée sur lui qu’il prend une de mes jambes et la pose sur le dossier de devant. Je me fais cette réflexion :« Le vicaire doit avoir une vue splendide dans le rétroviseur… » Je vois d’ailleurs qu’il en reprend le réglage. Mais déjà monseigneur plonge ses doigts dans mon sexe baveux, et aussitôt monte à mon nez l’odeur du sperme qui s’écoule de ma fente affamée, auquel se mêle le parfum musqué de ma féminité.
Les doigts passent de mes lèvres à l’entrée de ma grotte, et le pouce tourne lentement sur mon clitoris. Et inexorablement, je sens monter en moi une jouissance que je ne pourrais maîtriser. Je m’écarte le plus possible tandis que monseigneur me fait monter en me susurrant des mots salaces ou en expliquant au vicaire ce qu’il me fait et combien je mouille sur ses doigts ; c’est vrai que l’on entend les clapotis de mon sexe. Les insanités murmurées à mon ...