1. Drague avec mes fesses (19)


    Datte: 18/11/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: zooph34, Source: Xstory

    ... toujours sur Elodie. Elle a un visage resplendissant de bonheur.
    
    –A ce que j’ai pu entendre et à ce que je vois, tu as pris un sacré pied.
    
    –Superbe, c’est un merveilleux amant, tendre et endurant, j’espère renouveler l’expérience souvent.
    
    –N’oubliez pas les filles que j’ai soixante-douze ans, et ce genre de folie se doit d’être exceptionnelle, pas question de faire ça tous les jours, et n’oublie pas Elodie, que Sandrine est déjà sur les rangs.
    
    –On trouvera bien un terrain d’entente, mais je te garantis que je ne te lâche plus, tout en préservant ta santé.
    
    –Je suis votre homme les filles.
    
    Il n’est pas loin de dix-sept heures, je commence à trouver le temps long, Carole me manque de plus en plus. Guillaume va prendre une douche avec les deux filles, ça ne dure que quelques minutes, à son retour, il s’habille et nous quitte non sans nous avoir embrassés. Je vais prendre une douche pour être prête pour Carole. A dix-sept heures quinze, elle arrive. Nous nous jetons dans les bras l’une de l’autre et nous embrassant ...
    ... passionnément. Je ne lui ai pas laissé le temps de se déshabiller, je déboutonne fébrilement son corsage pendant qu’elle fait glisser le zip de sa jupe qui tombe à terre. Je lui enlève son corsage pour l’enlacer nue dans mes bras nus. Nous sommes peau à peau, bouche-à-bouche, sexe à sexe, je profite de ce moment de bonheur au maximum. Quand nous finissons par nous séparer, Elodie et Sandrine viennent l’embrasser en la caressant tout de même. Elle me prend la main et m’entraine sur le divan. C’est un nouveau baiser, long et tendre, qui nous unit. Pas de mains au tréfonds d’un sexe ou d’un anus, juste une délicate caresse sur nos corps, un moment de tendresse. Les filles nous laissent seules, elles vont dans la cuisine commencer à préparer le diner.
    
    Je couche Carole sur le divan, ma bouche se promène sur tout son corps, embrassant la moindre parcelle de sa peau, du front aux pieds. Je remonte le long de ses jambes serrées, mais quand j’arrive en haut de ses cuisses, elles s’ouvrent, m’offrant un accès à son sexe ruisselant.
    
    –Il en a besoin.
    
    .../... 
«1234»