COLLECTION ZONE ROUGE. Esclave de mon sexe - Esclave de son sexe. (1/1)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... centimètres, loin du record du monde, qui est de 48, rends-toi compte, six centimètres de plus !
Impossible de continuer à parler, je l’ai remise dans ma bouche avant de lui passer la langue sur toute sa longueur tout en le masturbant.
Dire qu’à la maison quand je suce Leonardo, si je veux avoir de la place pour la bouche, je dois la tenir avec deux doigts.
• Viens, je vais te baiser, je sens que tu mouilles, regarde sa coule le long de tes jambes.
Il a raison, moi qui suis sèche depuis que celui qui devait devenir mon mari m’a défloré, je sens que sans me toucher, la vue de sa verge est à la porte de me donner du plaisir.
Du plaisir, j’en prends quand je la sens glisser en moi, j’ai l’impression que je suis pénétrée pour la première fois, je baisse la tête, je sens qu’il touche mon utérus et il reste plus de 10 centimes à l’extérieur.
La vue de ce sexe noir décuple la première jouissance qui monte en moi, j’ai le temps et comme il semble avoir une résistance hors du commun comparée aux deux minutes de Léonardo, quand j’ai un orgasme semblant ne pas vouloir s’arrêter, je me mets à hurler.
Heureusement que ma maison est vide, je suis sûr que je m’envoie tellement en l’air que mes cris doivent s’entendre jusque dans notre chambre.
Il se couche sur le canapé et je viens m’empaler, ce n’est plus une jouissance, c’est un orgasme permanent qui me parcourt le corps, en une matinée, je suis accro à la bite de Tony.
Mieux même quand je réussis à le quitter, ...
... moi qui n’étais pas portée sur les jeux sexuels, je suis devenue une folle du cul.
Le plus embêtant c’est qu’il est trop tard pour faire cuire le gâteau, je téléphone à Léonardo qu’il en achète un à la pâtisserie du centre commercial, lui expliquant que j’ai cassé les œufs.
Toute la semaine, je guette si je vois Tony, jusqu’au vendredi, j’ai mal à la chatte surtout que je me masturbe minimum trois fois par jour.
Étant absent le samedi, Leonardo m’honore, je me garde bien de le repousser, mais je rêve à la bite de Tony que je sais retrouver demain, je lui ai téléphoné chaque fois que je l’ai pu.
Nos propos sont de plus en plus salaces, si je vous disais ce qu’il m’a promis de me faire quand je serais en levrette, je devrais prendre peur, il a promis de me sodomiser.
Il tient promesse, j’ai le cul déchiré la première fois, mais au bout de 2 mois, je le reçois en jouissant de la rosette.
Chaque fois que mon mari me saute, j’ai l’impression qu’il nage dans ma chatte, mon anus étant réservé à mon amant, mais peu m’importe, je me caresse le clitoris, je fantasme sur ce que je vais adorer subir le plus tôt possible.
Hélas, tout à une fin, le chantier du samedi se termine, il va falloir que je prenne des risques et rejoindre mon amant les après-midis de la semaine où il pourra se libérer.
Je sens que nous sommes devenues des esclaves sexuels ayant envie l’un de l’autre tout le temps.
La famille de mon mari est très pieuse comme un grand nombre de Portugais, ...