domination (1)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: fatout, Source: Xstory
... l’on veut sans que l’un ou l’autre puisse refuser ; par contre il n’y aura aucune brutalité ; vous devez quitter vos affaires et redescendre de votre chambre entièrement nus tous les deux ; Jean ne devra prendre aucune initiative, ne rien dire et ne rien faire quoique que nous fassions à Nini. Maintenant c’est nous qui décidons ; d’accord ? »
Un petit oui sort de nos deux bouches.
« C’est oui Maître ou Maîtresse maintenant ! »
« Oui maîtres »
Quand nous redescendons, gênés malgré tout par notre nudité devant nos hôtes, ils nous attendent allongés sur un grand sofa. Me donnant ordre de m’asseoir sur un grand pouf, il prend Nini par la main et la faisant mettre à genoux devant sa femme, il l‘oblige à se pencher entre ses cuisses qu’elle ouvre, découvrant sa chatte déjà luisante « fais la jouir », puis se positionnant derrière elle, et ouvrant son pantalon, il lui plante son membre bandé dans la chatte, sans aucune préparation ; elle ne peut retenir un cri, à la fois de surprise, mais aussi de douleur car le sexe est gros, et la brutalité de la pénétration prouve le désir du maître ; la briser dès le début ; l’obligeant à continuer à lécher sa compagne, il la besogne sans ménagement, claquant son bassin contre le fessier offert ; rapidement elle ne tarde pas à gémir, d’autant plus qu’il lui dilate l’anus d ‘un doigt puis de deux doigts agiles. elle ne tarde pas à jouir et il faut toute la pression sur sa tête pour qu’elle continue à lécher sa maîtresse qui elle aussi ...
... prend son pied.
« vas-y continue, baise-la profondément, je veux qu’elle obéisse à tout »
L’homme est performant et sa pénétration dure, déclenchant plusieurs orgasmes chez Nini ; ne pouvant bouger, je me branle, excité car je comprends que la soirée va être torride ; un ordre tombe. « Je ne t’ai pas autorisé à te branler ». Penaud je m’arrête.
Me fixant droit dans les yeux, il me dit
« tu vas voir, je vais faire de ta femme notre jouet et quand vous partirez, votre vie ne sera plus la même ; elle va dorénavant m’appartenir et toi aussi tu vas avoir une grosse surprise »
Se retirant de la vulve dégoulinante de jute, il pose son gland turgescent sur la rondelle ouverte et d’une seule poussée, il la perfore ; un hurlement retentit, vite écrasé par une vulve baveuse ; elle se débat mais rien n’y fait, il l’encule vigoureusement et rapidement elle s’offre, reculant son fessier à la rencontre du sexe qui la possède ; à nouveau sa jouissance déferle et je l’entends soudain s’écrier
« vas-y maître défonce moi, fais de moi ce que tu veux, prend moi, je t’appartiens, mon corps ne veux que toi »
Je reste sans voix, elle vient d’accepter sa domination. Le maître se retournant vers moi :
« Tu vois, ce n’est plus ta femme, elle est à moi et ce pour toujours ; elle est mon jouet et toi, tu seras bientôt pareil ; mais pour l’instant, regarde bien car tu ne vas plus la toucher. »
« Je viens de la féconder, et seul mon sperme dorénavant va la remplir »
Sur ce il ...