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Marie et le sculpteur aveugle (3)
Datte: 25/04/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... pourrais faire quelques rapides esquisses maintenant pour prendre la mesure du sujet ? » « Bien sûr, je vais remettre ma tête inachevée au frais et j’ai quelques coups de fils à passer ; elle est à toi ! » L’EXHIBITION FORCÉE Je reste interdite, assise sur mon tabouret à moitié nue. Je suis penchée en avant, les cuisses écartées et les mains devant mon sexe qui tiennent et tirent sur le vêtement. Les auréoles de mes mamelons sont visibles de chaque côté des bretelles hypertendues et mes tétons jouent à cache-cache derrière. Je regarde fixement le peintre qui m’a sauvé d’une agression avec une candeur juvénile qui semble fortement l’inspirer…Ses yeux brillent d’excitation. « Viens par-là et grimpe sur ce podium. C’est quoi cette sculpture là-bas ? C’est toi ? » Tout en m’asseyant sur le podium en bois en serrant les cuisses et en tirant sur mon Marcel pour me couvrir un peu, je vois qu’il fait allusion à la sculpture de l’autre jour que Lucien est en train de peaufiner avant livraison. Très gênée par cette pose indécente, je murmure un petit « oui... » Plus je tire sur mon Marcel, et plus je l’étire du haut ce qui augmente l’échancrure. Un téton passe inopinément la bretelle et se dénude sous ses yeux. Je rougis comme une pivoine ! « Eh bien, ça me parait être un très bon début ça ; comme tu connais cette pose par cœur, elle sera parfaite pour me faire une idée... » « La... la même pose ?! » « Oui, cette pose met bien en valeur tout tes ...
... attributs, en particulier tes courbes que je vais prendre grand plaisir à dessiner ; elle est parfaite pour moi ; vas-y, grimpe sur le podium. Tu peux rester habillée si tu préfères » Habillée ? C’est vrai qu’il n’a pas encore vu que je ne porte pas de culotte ! Le podium est rond et peut tourner facilement d’un simple effort. Lucien s’en sert pour orienter ses sculptures. Je grimpe donc et me mets lentement à quatre patte, mais bien face à lui...Je tire en arrière sur mon T-shirt comme une forcenée pour pouvoir couvrir mon postérieur mais le compte n’y est pas... « Cambre toi bien... comme la sculpture... allez... » Finalement, à court de solution, j’obéis et comme mes bras sont posés droits sur le podium, je dois lâcher mon Marcel qui remonte donc automatiquement jusqu’à la moitié de mes fesses, exposant totalement ma fente...enfin, s’il fait le tour ou tourne le podium. Mais sur le devant ce n’est pas mieux...Le Marcel baille outrageusement. Il est tellement grand et échancré qu’il tombe sous moi façon hamac...touchant presque le plancher du podium. Mes seins pendent à l’air libre et sont visibles sous n’importe quel angle. Jovial, il prend son temps et s’assoit sur un tabouret, puis prépare une toile et son fusain avec des yeux brillants qui ne me lâchent pas. « Tu avais raison de garder tes vêtements... je n’aurais jamais imaginé qu’un Marcel pouvait dégager un tel érotisme. Surtout ne change rien ; je me demande juste si tu portes aussi un vieux slip ...