Ma femme offerte à mon meilleur ami (1) - Histoires de Sexe

Ma femme offerte à mon meilleur ami (1)

... calme pour suivre le cours, mais peine perdue, 5 minutes plus tard, elle faisait tomber son stylo sous la table en me regardant dans les yeux. Je compris le message et je me penchais sous la table pour chercher son stylo, j’étais obligé de m’approcher de ses cuisses et de les frôler doucement avec les cheveux... je sentais la chaleur de ses cuisses et de son entrejambe, là tout près de mon visage et son odeur de chatte chaude était de plus en plus forte... elle en profita pour discrètement ouvrir les cuisses et les refermer doucement plusieurs fois, m’envoyant des effluves sensuels de plus en plus violents... je n’en pouvais plus, je tournais la tête et me retrouvais face à son entrecuisse maintenant ouvert à mes yeux, à mes narines et à ma bouche.

Comme nous étions au fond, personne ne voyait ce petit manège... elle ouvrit largement les cuisses et je vis qu’elle ne portait aucune culotte, d’où la présence si puissante de son odeur, je vis une jolie chatte entrouverte, un clitoris bandant et une coulée de mouille dégoulinante de son sexe sur la chaise. Jamais vu une femme mouiller autant, je comprenais la puissance de son parfum sensuel. Je ne pouvais plus résister, en faisant semblant de chercher son stylo, j’approchais ma bouche de son sexe largement offert, coquillage rose au milieu d’une jolie forêt de poils noirs, je plongeais d’abord mon nez pour me repaître de son odeur musquée et bonne à faire bander un âne puis je collais ma bouche à sa fente. Sans faire de ...

... bruit, je buvais littéralement son jus coulant de son sexe ouvert, je lapais tout son jus en enfonçant ma langue dans sa fente brûlante.

Elle m’aida en écartant encore les cuisses et je pus lécher tout son jus qui avait coulé jusqu’à l’entrée de son sillon entre ses jolies fesses. Son clitoris était gonflé à bloc et je le sentis se raidir quand j’ai pris son bouton gros comme une framboise entre mes lèvres pour l’aspirer et le sucer. Putain que c’était bon, j’aurais voulu rester là à tout jamais coincé entre ses cuisses ! Je l’ai sentie se cambrer, se raidir, elle grandirait abondamment, ses cuisses étaient trempées sur mes tempes qu’elle serrait maintenant et sans un cri, j’ai senti qu’elle jouissait sous ma langue. J’ai juste eu le temps de coller ma bouche à sa fente pour boire un flot de liquide coulant de son sexe surchauffé ! Merveilleux ! Je me suis essuyé sur sa jupe et je me suis redressé victorieux avec le stylo dans la main ! Elle était rouge et en sueur, mais personne ne s’était rendu compte de ce que je venais de lui faire sous la table.

Tout ça n’avait duré que quelques minutes et si ce n’est la couleur de ses joues, du haut de sa poitrine et les taches de transpiration sous ses seins et sous ses bras, rien ne laissait penser qu’elle venait de prendre son pied. Pour moi, c’était une autre histoire et ma queue était comme un fer rouge dans mon slip et je mouillais aussi abondamment. Je me suis levé discrètement, je l’ai regardée dans les yeux et je suis passé ...