1. Marie (1), mon petit péché mignon


    Datte: 16/11/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Romainro, Source: Hds

    ... l’impression de totalement écarteler son sexe avec le mien. Même si je ne rentre pas complètement en elle, j’ai l’impression de la remplir entièrement. Je m’excite encore plus en elle, je sens le plaisir monter. Je relève encore un peu sa jambe pour la refermer encore plus sur moi et essayer de la faire jouir en même temps que moi mais au lieu de ça nous nous retrouvons par terre.
    
    Après des « aies » à cause des branches et des pierres suivi d’un fou rire, j’enlève mon t-shirt pour m’allonger dessus. Marie m’a immédiatement enjambé en me faisant face. Elle s’accroupie doucement et une fois à bonne hauteur, elle empoigne ma queue pour pointer le gland à l’entrée de sa chatte. Quand mon champignon est bien calé en elle, elle s’assoie d’un coup sur moi. Cette fois elle m’avale entièrement.
    
    Elle relève son t-shirt au-dessus de ses petits seins et se penche sur moi, s’agrippe à mon torse et mes poils et commence à rebondir sur moi comme sur un cheval au galop. Ses fesses tapent énergiquement mes cuisses, pour ne pas qu’elle perde l’équilibre je l’attrape par la taille et l’aide dans ses mouvements. Nos deux corps s’imbriquent de plus en plus sauvagement l’un dans l’autre.
    
    Ca doit faire un an que je n’ai pas fait l’amour de cette façon avec Jeanne. Je ne sais pas si c’est la frustration accumulée mais je me déchaînes comme un fou sur Marie alors qu’il y a même pas une semaine, elle était une simple inconnue. Comme je sens que je ne vais plus tenir très longtemps, je libère ...
    ... une de mes mains pour stimuler son clito.
    
    Je rentre dans la phase ou je dois me concentrer pour me retenir quand je sens son sexe se contracter autour du mien par saccade. Ses cris de plaisir me confirme qu’elle est entrain de jouir, tout comme ses doigts qui serrent encore plus fort mon corps. Du coup je me laisse aussi aller, je m’étonne à sortir des râles très graves au moment ou j’envoie ma première giclée dans la capote.
    
    Je continue de la limer pendant que je me vide alors que ses contractions vaginales sont plus longues mais plus espacées. Nos corps commencent à se calmer jusqu’à ce qu’elle s’assoit sur moi sans plus bouger. Alors que je suis toujours en elle, Marie s’allonge sur moi et je sens sa mouille encore plus dégouliner sur mes cuisses.
    
    Au bout d’un moment, qui m’a paru trop court, elle soulève la tête, m’embrasse tendrement puis se relève délicatement. Je me mets aussi debout, je retire le préservatif qui avait commencé à déborder et je fais un noeud. Nous nous rhabillons en silence, une fois totalement vêtu Marie vient se blottir dans mes bras et me serre fort contre elle en me disant:
    
    « Ca fait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir. »
    
    Je suis obligé de lui avouer que moi aussi.
    
    Nous nous décollons à regret et retournons vers le sentier puis au parking, sans échanger un mot mais main dans la main. Nous n’avons pas besoin de nous étirer alors nous nous préparons à nous quitter. Avant de lui dire au revoir, comme des amis, je lui ...
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