1. Souvenirs... (1)


    Datte: 16/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: papy67000, Source: Xstory

    ... petit-déjeuner, je n’ai pas trouvé de goût particulier au lait.
    
    A l’époque, la satisfaction des besoins naturels se faisait tout aussi naturellement à la campagne. Nous avions « une cabane au fond du jardin » mais elle n’était pas utilisée systématiquement. Pour pisser, papa et moi sortions notre queue là où nous étions quand nous travaillions à l’extérieur et nous pissions par terre. Maman, comme elle ne portait jamais de culotte, se contentait d’écarter les jambes et laissait couler sans se cacher devant nous. Pour « la grosse commission » on le faisait dans la litière à l’étable, souvent l’un à côté de l’autre. Personne n’était gêné, c’était naturel, j’imagine que c’était partout pareil dans les campagnes reculées.
    
    Je me souviens d’un été, c’était un samedi car papa était là, nous devions rentrer les foins. Pour cela oncle Claude nous avait amené son cheval et sa charrette.
    
    — Salut petite sœur chérie, salut Marc, salut Lucas (c’est moi), je vous amène de quoi travailler.
    
    — Salut frangin, viens boire un coup avant de rentrer.
    
    Maman avait pris son frère par la main et lui l’avait prise par la taille, en marchant mon oncle a laissé glisser sa main de la taille à la fesse de maman qui se contenta de rire.
    
    — Si tu as le temps mon frère chéri, j’ai envie de te faire une pipe avant que tu partes, je vois que ta queue est déjà toute dure.
    
    — Tu es un amour de sœur, si je ne t’avais pas je serai obligé de me branler.
    
    Mon oncle sortit sa queue que maman ...
    ... s’empressa d’emboucher.
    
    — Tu vois fiston, ta maman et ton oncle s’aiment vraiment beaucoup, ta maman m’a raconté qu’ils ont perdu leur pucelage ensemble, l’un avec l’autre et ils continuent de s’aimer comme au premier jour.
    
    Une fois mon oncle reparti les couilles vides, nous nous mîmes à charger le foin. Maman était sur la charrette pour répartir les fourchées que papa lui lançait, moi, à l’aide d’un râteau, je ramassais les brins qui traînaient. Une fois tout chargé il a fallu faire descendre maman du tas de foin. Papa était à l’arrière de la charrette :
    
    — Chérie assieds-toi et laisse-toi glisser, je t’attraperai.
    
    Maman s’assit et se laissa glisser lentement. En glissant, sa robe déjà très déboutonnée, remonta sur ses cuisses et nous dévoila son minou. Papa l’attrapa sous les cuisses et bloqua sa descente. Il approcha sa bouche de la jolie chatte et la lécha copieusement. Maman ne mit pas longtemps à avoir son orgasme et papa la reposa par terre. Maman s’agrippa à lui en haletant, en se serrant contre papa elle s’aperçut que ce dernier avait une trique monumentale, elle s’empressa de la mettre à l’air et sans la lâcher, elle se tourna remonta sa robe et présenta le gland turgescent à l’entrée de sa chatte encore ruisselante de son récent plaisir. Papa l’attrapa par les hanches et s’enfonça d’un seul coup dans la chatte accueillante. Devant ce spectacle je ne restai pas insensible, je sortis ma queue et commençai à m’astiquer.
    
    — Viens ici mon petit chéri, je vais te ...