1. Papa nique, belle-maman couche. (1)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... retournai pour voir la quasi totalité de la noce gravir les degrés quatre à quatre, père en tête.
    
    Sans faire plus attention à moi, il me bouscula et se rua dans la chambre. Il tapa une grande claque dans le dos de son témoin.
    
    - Putain ! T’es pas cool... J’avais la priorité pour moi ce soir !
    
    - Que veux-tu, elle est trop bonne !
    
    Mon père commença à se déshabiller pendant que d’autres convives se frayaient un passage dans la chambre.
    
    - Oh, oh, du calme, du calme... gueula Octave  ! C’est petit ici. On va pas tous tenir. Allez niquer ailleurs. C’est pas les piaules qui manquent.
    
    La femme de Romaric, Melvina, était entrée aussi. D’un geste, elle avait rabattu les bretelles de sa robe qui glissa jusqu’au sol la découvrant entièrement nue.
    
    Tandis que son mari se faisait toujours pomper par ma belle-mère et que d’autres personnes commençaient à se peloter dans la chambre et sur le palier, elle grimpa sur le lit, empoigna la bite du mec qui était caché sous la jupe, lui titilla le méat du bout de la langue et demanda
    
    - Elle est à qui cette belle bite bien dure qui pue bien la pisse et la sueur ?
    
    Yvina souleva son cul et je vis apparaître la face de mon frère luisante de cyprine. Comment n’avais-je pas fait le lien entre les deux disparitions ?
    
    Melvina se précipita sur mon frère, lui roula une pelle, l’enjamba et vint se planter sur sa queue pendant qu’Yvina se dégageait et que mon père, désormais nu, montait sur le lit pour la prendre en ...
    ... levrette.
    
    Ainsi placé, il commença à dégrafer la robe.
    
    Octave avait rejoint le groupe de sa sœur pour se faire sucer le zob par Melvina qui ondulait de plaisir sur le corps de mon frère.
    
    Un cauchemar ! C’était un cauchemar... non ! Non, car les cauchemar ne font pas bander.... et je bandais comme un âne.
    
    L’une des copines de ma belle-mère, que je n’avais vue ni d’Eve ni d’Adam, s’agenouilla devant moi, baissa ma braguette et défit mon ceinturon. Je me reculai contre le mur. Elle dégagea ma bite tendue et l’enfonça dans sa bouche avec une telle expertise qu’elle me la bouffa jusqu’aux couilles.
    
    Je ne réalisai pas ce qui se passait.
    
    Autour de moi, le mariage avait tourné à l’orgie. Comme les hommes étaient un peu plus nombreux que les femmes, certaines étaient prises par les deux bouts, à l’instar de ma belle-mère.
    
    Mon père la tringlait avec violence. Romaric se dessapait progressivement.
    
    J’entendis mon frère dire :
    
    - P’pa s’te plait, j’aimerais encore lui bouffer la moule.
    
    Alors mon père sortit du vagin; sa femme se remit au dessus de mon frère après en avoir profité pour enlever totalement sa robe. Elle avait un porte-jarretelles mais pas de culotte.
    
    Elle continuait de sucer Romaric; Grégoire lui lavait la moule et Melvina s’était désormais intéressée à la bite d’Octave.
    
    - Claude ! Tu peux prendre le sac à ta gauche... troisième pochette.. non de l’autre côté.. ouais là ! Le tube de gel s’il te plait.
    
    Le collègue de mon père, le fameux Claude s’exécuta. ...
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