1. Mon père est un cochon 1/2 (Trouvée sur le net)


    Datte: 15/11/2020, Catégories: Hardcore, Gay Sexe Interracial Auteur: assfordestroy, Source: xHamster

    ... mon devoir de père de famille.
    
    — Oh, putain, mais vous entendez ce conard nous traiter de loosers! Pour qui il se prend, lui? On va lui montrer qui on est, nous!
    
    Ils sautèrent sur mon père d’un coup et il eut beau gueuler, il se retrouva immobilisé. Deux des gars le saisissent par les bras et l'entraînèrent de force dans une cave humide de la cité. Mon père se débattait mais ne pouvait rien faire contre ces jeunes gars solides et vigoureux. Cachés derrière une fenêtre au deuxième étage, j’entendais les cris de mon père hors de lui. Je suis alors descendu à la cave... Je voulais voir...
    
    La cave était répugnante. Les murs étaient recouverts de graffitis et il y règnait une odeur d’urine et de tabac à vous faire vomir. Les cris avaient repris de plus belle. Dans la cave, il y avait un hispano tatoué du nom de Ténébro. Ce mec me faisait peur rien qu’en le voyant.
    
    — Eh, les gars, vous l'avez chopé où cette pute?
    
    — On sait que tu préfères les vraies chattes mais, désolé, mec, on n’a trouvé que ça!
    
    — Après tout, un trou est un trou.
    
    Mon père s’était tu. Il devait vraiment se sentir mal.
    
    — Figure-toi que cette salope est soit disant venue chercher son fils et elle nous a insultés! lança Ahmed.
    
    — Beau costard! Mais il va falloir l’enlever!
    
    J’ai entendu un bruit de crachat. Mon père venait plus que certainement de cracher à la figure de l’hispano. Putain, ça allait mal finir!
    
    — On veut faire le malin et bien on va te montrer!
    
    Que pouvais-je ...
    ... faire? La situation était plus que claire. Pouvais-je intervenir pour empêchant mon père de se faire violer où laisser faire en guise de punition pour m'avoir suivi?
    
    De toutes manières, c’était trop tard. Les gars l’avaient entraîné dans leur antre et ils le jetèrent sur un matelas pourri.
    
    — Je vous préviens... eut-il le temps de dire.
    
    Un coup vola et lui arracha un cri. Il ne dit plus rien. J’étais là, à une dizaine de mètres, et j’observais. Il y avait suffisamment d’ombre pour qu’on ne me voit pas. Mon père sanglotait alors qu’on lui arrachait ses vêtements. Il se retrouva en slip et chaussettes. Les mecs riaient et faisaient leurs commentaires douteux. Ils lui ont écarté les bras et il a été maintenu avec fermeté par deux mecs. Il appelait doucement au secours en se débattant.
    
    Ténébro s’est approché et lui a craché à la figure:
    
    — Je te le devais, salope! Tu peux crier tant que tu veux. Crois-moi, c’est stupide... même si on t’entend, personne n'osera rien dire ici, par peur des représailles. Alors tu peux toujours gueuler comme une truie, tu arriveras juste à t’ épuiser... Garde tes forces pour d’autres choses!
    
    Les choses prenaient des proportions que je n’avais pas imaginées. J’aurais peut-être pu m’interposer entre Ahmed et ses compagnons et leur intimer l'ordre d'arrêter mais une pulsion perverse m'empêcha d'intervenir. J’étais à la fois excité, paralysé et subjugué par la scène qui se déroulait devant mes yeux. Mon père s’est retrouvé là, au milieu des ...