1. Ma mère Martine 09


    Datte: 14/11/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... tu comptes refaire le tapin?
    
    - Oui mon chéri. Tu sais que je n'ai pas le choix de toute façon. Je suis l'esclave de cet ignoble pervers de proxénète même s'il me paye pour que je me prostitue.
    
    - Mais cela te plaît-il d'être obligée de vendre ton corps à tous ces hommes.
    
    - Au départ, je t'avoue que j'ai eu honte mais tu sais que j'aime être soumise aux hommes et surtout par plusieurs à la fois. Le fait d'être en plus devenue une prostituée me procure une sensation de bien-être incroyable. J'aime me vendre, être à la merci de tous ces hommes qui m'humilient.
    
    - Mais tu es folle. Et les autres femmes qui se prostituent : Elles n'ont pas le choix et sont dans la misère.
    
    - Eh bien moi, je fais cela pour mon plaisir sexuel. Je me sens une vraie femme désirée et non une mère de famille honorable. J'en ai assez d'être obligée de jouer la comédie devant les amis de ton père. Je vous ai élevé ta sœur et toi et maintenant, j'ai envie de profiter de mon corps.
    
    - De toute façon, tu sais que j'approuve ce que tu fais. J'ai même hâte de passer une soirée avec toi et de voir la taille de tes seins.
    
    - Aaah que tu es gentil mon chéri! Si toutes les mères pouvaient avoir des enfants aussi compréhensifs que toi.
    
    - Et si tous les fils avaient des mamans aussi libertines et courageuses de concrétiser leur perversion.
    
    Ma mère me sourit et dit :
    
    - Je passerai dans ton studio en fin de semaine et je mettrai un décolleté très provocant avec cette mini-jupe en cuir que tu ...
    ... aimes tant.
    
    - Il faudra faire attention car les voisins savent que tu es ma mère et ils pourraient tout dire à papa.
    
    - Bah, on se retrouvera en ville de toute façon. Si tu veux, vu que tu n'as plus d'amies, je verrai si je ne peux pas te trouver une collègue.
    
    - Tu sais maman, je préfère les filles normales. J'aime bien les séduire et qu'il y'ait des sentiments.
    
    Ma mère me regarde en fronçant des sourcils.
    
    - Et moi, tu préfères me voir me faire baiser comme la dernière des truies. Je n'ai pas oublié que tes copains et toi, vous vous êtes bien rincés l'œil pendant que je me faisais violer sur le parking. Même dans cette cité, vous étiez heureux de me voir me faire saillir par ces jeunes salauds.
    
    - Oui, mais toi c'est différent car je sais qu'au fond, tu aimes ça.
    
    - Ce n'est pas une raison! Je suis ta mère, celle qui t'as mis au monde et toi, tu me traites comme une pute et tu me laisses subir les derniers outrages en y prenant beaucoup de plaisir.
    
    - N'oublie pas que c'est toi qui a donné notre adresse.
    
    - Ooh, je ne l'oublie pas et d'autres non plus ne l'ont pas oubliée.
    
    - Il y'a eu du monde?
    
    - Pendant deux semaines, cela n'a pas arrêté. Je ne m'habillais même plus. J'avais juste un peignoir et ils sont même venus à dix une fois. Ils m'ont tous baisé dans la cuisine, sur la table. Après ça, ils m'ont forcé à les suivre dans leur cité en peignoir. Puis j'ai dû à nouveau les satisfaire dans une de leur cave vétuste.
    
    - Tu devrais arrêter d'aller ...
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