1. Laurence se déchaine (12)


    Datte: 13/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: jean-marie026, Source: Xstory

    ... nouvel étalon, pour renter dans le magasin et se diriger jusqu’à Victoria.
    
    — Excuses-moi, ma belle, J’ai besoin de Jean-Charles, il n’est pas loin... Sur le parking avec nous... Demanda-t-elle.
    
    Victoria se retourna, lui sourit.
    
    — Tu peux y aller, dans cinq minutes son service est fini... C’est bon, je te le laisse... Bonne soirée... Lui dit elle.
    
    Marine, à nouveau, l’embrassa. Pour ensuite rejoindre le trio.
    
    — Allez, on se dépêche, dit elle.
    
    Marine qui tenait Laurence par sa laisse, la tirant à ses côtés, alors que Jean-Marc et l’agent suivait les deux femmes, jusqu’à la voiture. Restant devant, afin de s’exhiber aux clients qui passaient à ce moment-là, Jean-Charles appuyé au capot du véhicule, debout, regardait s’agenouillait Laurence, devant lui, le dégrafant de son pantalon, suivi du caleçon, pour en libérer une superbe queue. Et sans attendre plus, Laurence s’y agrippa de sa main droite, avant de l’avaler et le sucer goulûment, le suçant d’envie, tout ceci, sous le regard de son mari, sa nièce, fières d’elle.
    
    Laurence avait qu’une envie, se faire défoncer par cette tige, volumineuse, comme beaucoup d’entre elles, aimeraient se faire prendre.
    
    Marine, elle, dégrafa le jean de son oncle, nu dessous, elle le branla, tout en dévorant des yeux celle de Jean-Charles.
    
    Son excitation était telle, que Marine n’en pouvant plus, vint aux côtés de celui qui se faisait sucer, retirant le lycra de la tête de Laurence, elle lui présenta.
    
    — Si tu nous ...
    ... baises bien, tu l’auras en cadeau... Allez, mon mignon, au boulot... Tiens, tonton, occupes toi de ta petite chienne de femme, j’ai une grosse envie... Ordonna-t-elle.
    
    Marine, repoussa sa tante du jeune étalon, sans qu’elle puisse se relever, Laurence se retrouva devant la queue, qu’elle connaissait de son mari.
    
    Marine, elle, accoudée sur le capot de la voiture, une jambe relevée, le pan de la micro-jupette, retroussée sur ses reins, lui offrant ainsi, en totalité ses deux orifices.
    
    Où il lui enfila son gourdin, qu’elle accueillit chaudement, ruisselante, elle en gémit aux premiers coups de reins. Il oscillait vigoureusement en elle, la faisant haleter à pleine gorge, yeux mi-clos.
    
    Laurence, soumise, docile, agenouillée aux pieds de Jean-Marc, le suçait, alors que ce dernier, comme de nombreux couples attroupés autour d’eux, appréciaient le spectacle.
    
    Laurence avait mal à ses tétons, lançant un regard sur Jean-Marc, qui lui, jouait le jeu de sa nièce, ignorant sa demande, si ce n’est, agrippant sa chevelure, pour lui imposer de le sucer.
    
    Marine qui grognait son plaisir de se faire défoncer, par, il est vrai, un étalon de premier choix, le poussant d’un coup, pour se retirer.
    
    Jean-Charles ne comprit pas ce qui lui arrivait.
    
    Marine vint devant Laurence, toujours affairée à sucer son mari, prenant la laisse des mains de ce dernier, obligeant sa tante à se lever et l’attirer jusqu’à Jean-Charles, resté debout, en totale érection.
    
    — Allez, ma tantine, tu vas ...