1. Contrainte 03 - Le Bistrot


    Datte: 12/11/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... comprendre...
    
    - TAIS-TOI! Tu remonteras ta robe dans le dos jusqu'à la cambrure des reins...
    
    - Donne-moi une autre punition, s'il te plaît... Je ne peux pas faire ici... Si le patron vient, qu'est-ce que je vais dire?...
    
    - Si le patron arrive, tu te débrouilles, je m'en fous. Une désobéissance pour la journée, c'est déjà trop! Alors n'en rajoute pas.
    
    Elle se leva résignée en vérifiant que se robe était bien retombée dans son dos. Elle avait constaté qu'il n'y avait qu'une seule femme dans le bistrot, aussi le risque était-il limité. Mais il ajouta :
    
    - J'oubliais : tu vas dans les toilettes HOMMES.
    
    Elle ne put bouger pendant quelques instants, stupéfaite par le complément d'ordre. Elle n'eut pas le temps d'ajouter un mot : " FILE! ".
    
    Les toilettes se trouvaient au fond du café, dans le prolongement du comptoir. Elle longea celui-ci, passa à côté de quatre tables inoccupées, arriva devant les deux portes des toilettes H et F. Elle laissa volontairement tomber son mouchoir et en le ramassant, s'assura que le patron ne la regardait pas. Comme il était occupé à discuter avec les deux types du bar, elle se précipita dans les toilettes hommes.
    
    L'endroit était vieillot mais propre. Il formait un couloir avec, à gauche, trois urinoirs qui faisaient face à un lavabo, suivis de deux cabines. La fenêtre était bien en face de l'entrée.
    
    Celui qui était assis devant elle se nommait Jean. Il l'avait suivie du regard et noté qu'elle s'était trompée de porte. Il ...
    ... avait vu qu'elle portait des bas ; il bandait ferme déjà car ces situations sont rarissimes. Il avait aussi noté que la fille semblait très perturbée, pâle, les poings serrés. Les seuls mots qu'il avait pu entendre étaient punition, reins, comprendront pas, toilettes.
    
    Elle attendit quelques instants, toute ouïe pour savoir si quelqu'un l'avait suivie. Pas de bruit. Elle se lava les mains, une façon de repousser l'échéance. Finalement, disciplinée, elle se plaça sous la fenêtre, nez au mur. Sans même avoir relevé sa robe, elle se sentait déjà malséante dans cette position. Elle temporisa encore ; personne ne le saurait si elle n'obéissait pas. Mais, elle se décida à attraper la robe tous en bas et la tirer jusqu'aux creux des reins. Elle devait obéir, son mari vérifierait sûrement. La fraicheur de la pièce vint glacer les fesses peu protégées par la culotte.
    
    Elle n'avait même pas demandé combien de temps elle devait rester dans cette situation. " Il viendra me chercher " pensa-t-elle. Nul ne peut imaginer, à moins de l'avoir vécu, comment chaque minute semble durer une heure dans ces conditions. Le regard détaille les moindres détails du mur, le cœur bat la chamade, les oreilles perçoivent chaque bruit.
    
    Soudain, la porte s'ouvrit et il lui sembla que ce fut un coup de tonnerre.
    
    Un sifflement donna immédiatement le ton.
    
    - Oh, ma salope, t'aime bien montrer ton cul toi! Ton mec, il le sait que tu montres ton cul dans les chiottes?... Ouais, il est beau, un peu gros, ...
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