1. Il faut deux queues pour bien remplir Juliette, mais elle ne le savait pas ...


    Datte: 12/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lino13, Source: Hds

    ... de ce qui vient de se passer.
    
    L’autre couple qui est resté avec nous dans le sauna change de position et la brune vient se placer à coté de Juliette, et sans aucune hésitation ni aucune gène se met à la caresser. Sur les épaules et les seins.
    
    Son mec, un grand blond, plutôt baraqué et bronzé, se colle à elle et la caresse tandis qu’elle caresse ma femme. Il me jet un oeil et me fait signe de nous diriger tous les quatre vers les pièces attenantes. D’une main complice j’attire l’attention de Juliette et lui murmure à l’oreille :
    
    • Chérie, tu es prête, j’ai très envie de te baiser avec ce type et cette nana.. tous les 4, ça offre pas mal de possibilités non ?
    
    • Tu es sur ? Tu es sur qu’on ne va pas le regretter ? …
    
    • tu as vue comme tu étais excité pendant que ce mec te branlait et que tu galochais cette fille sur ma bite ? Elle souri à cette évocation :
    
    • Humm .. c’était excitant, c’était bon …de sentir ta queue dans ma bouche, cette fille qui te suçait en même temps que moi et qui m’a embrassée, hum ca m’excitait … et ces doigts qui allaient et venaient dans ma chatte …et ta main qui est venu prendre mon petit trou, tu sais que je ne veux pas en ce moment, mais tu l’as fait quand même et c’était bon...
    
    • Viens chérie, suivons les ….
    
    Un coup d’œil au mec, qui depuis tout à l’heure n’en fini pas de reluquer ma Juliette, pour lui faire signe qu’on est ok et les voilà qui se lèvent aussitôt , ajustent leur serviettes après s’être rapidement retournés ...
    ... pour s’assurer que nous les suivons et nous décrocher un sourire complice.
    
    Nous sortons à notre tour. Je suis un peu gêné du fait de mon érection, mais après tout, c’est naturel et ici pas vraiment choquant. Je constate au passage que le type est particulièrement « gros ». Son sexe est immense au repos et offre des dimensions déjà imposantes. Je vois que cela n’a pas échappé non plus à ma Juliette.
    
    Nous les suivons donc jusqu’a les rejoindre dans ce que nous croyons être un pièce mais qui s’avère très vite être en fait un labyrinthe de cloison. Ici l’obscurité règne en maître. Juliette me serre la main, je lui serre en retour pour la rassurer. Nous avons apparemment perdu les autres.
    
    Sur notre gauche, une petite alcôve s’offre à nous, une croix de saint-André est placée face à l'entrée et les murs laissent apparaitre des trous à différentes hauteurs. pas difficile d’imaginer ce qui peut en surgir. Au milieu un matelas à la propreté douteuse aucun moyen de fermer la porte. Juliette me tire par la main un peu plus loin.
    
    Nous continuons notre chemin pratiquement à l’aveugle, toujours aucune trace de nos « amis ». Soudain un « psst » résonna faiblement à mes oreilles sur la droite. je tendis l’oreille et l’entendis à nouveau.
    
    « Psst ». nous dirigeons nos pas vers le bruit.
    
    Dans l’obscurité, un carré encore plus sombre se détache en face de nous. une main blanche surgit, et nous fait signe de pénétrer dans la petite alcôve. J’y grimpe, un léger bisou sur la bouche ...
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