1. Une tranche de vie 16


    Datte: 11/11/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Maceron, Source: Hds

    ... plantais au bout du lit face à lui et claquant des mains, imitant le bruit que fait la claquette en début de prises de vue au cinéma, je dis : « Anne Laure – Strip-tease – 1ére » et je commençais à me déshabiller comme j’avais vu les stripteaseuses le faire. J’enlevais mon petit gilet que je jetais négligemment sur le lit, puis je défaisais les boutons de mon corsage, qui, enlevé suivi le même chemin que le gilet. Tout cela en dansant, enfin en tortillant des fesses. Tournant le dos au photographe, je descendais le zip de ma jupe que je faisais glisser le long de mes hanches et qui atterrit parterre et que je balançais d’un coup de pied au fond de la chambre. Toujours de dos, je dégrafais mon SG, qui lui aussi atterrit sur le lit et me retournant, je cachais mes seins de mon bras droit, alors que ma gauche descendait vers son string et de nouveau je me mettais, dos au public enfin dos au photographe, pour enlever son string que je fis descendre avec moultes mouvements des hanches. J’étais enfin nue. Je me retournais vers le photographe et écartant les bras m’offrais ainsi à sa vue.
    
    Tout ça m’avait un peu échauffé. Je m’allongeais sur le lit, tendais les bras au-dessus de ma tête et m’étirais langoureusement. Ramenant mes bras, ma main droite rencontra mon sein droit et elle commença à le soupeser, l’envelopper ; la main gauche suivit son exemple. Je sentais mes seins gonfler sous mes caresses et surtout en pensant à Jean qui devait se régaler à me photographier. Je ne lui ...
    ... avais jamais accordé un tel spectacle et j’espérais qu’il appréciait ?
    
    Ma main droite abandonna mes seins pour descendre sur mon ventre et mon bas-ventre qui commençaient à réclamer leur part. Sous ma main gauche mes seins avaient durcis et pointaient sérieusement, alors que ma main droite continuait sa descente vers mon entrejambe. À l’arrivée de ma main mes jambes s’écartèrent légèrement pour laisser un libre accès à ma chatte, qui s’humidifiait généreusement. Oubliant ce que faisait l’autre avec ses photos, mon majeur suivi le sillon de mes grosses lèvres, qui après plusieurs allées retours finis par s’introduire dans mon intimité, je me faisais plaisir et sentant venir le plaisir j’écartais largement les cuisses, laissant libre accès à mes doigts qui se trempaient de mouille qui par leurs mouvements m’entraînaient vers le plaisir et je sentais que j’allais bientôt jouir..
    
    Je n’avais rien entendu, quand jean arriva, me tira par les jambes jusqu’au bord du lit.
    
    Moi : « Oh « de surprise
    
    Jean : « T’es bien une salope, je vais te baiser »
    
    Moi : « Oui, comme tu veux, je suis une salope, mais tu es là, viens prends moi, baises ta salope, dépêches toi j’étais en train de partir»
    
    Alors que j’avais les cuisses largement écartées et la chatte bien ouverte et prête à l’accueillir, il m’écarta encore les jambes et me dit : « Ouvres-toi, ouvres ta chatte que je la voie »
    
    J’ouvris ma chatte, il se positionna et le guidant un peu, me pénétra d’un seul coup de rein. ...
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