1. Double vie... ou plus 6/7 Retrouvailles


    Datte: 11/11/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    Mes deux « femmes » sont donc enceintes. Du côté de mon ex – maintenant – belle-famille, la nouvelle de la grossesse de Nelly a été fraîchement accueillie. En effet, celle-ci ne voulait pas donner le nom du père de son enfant -et pour cause-. Malgré l'insistance des divers membres de la famille, elle n'a rien lâché. J'ai été interrogé par mon ex-femme et mon ex-belle-mère, qui étant donné que j’habite la même région que sa fille et que je vais la voir de temps en temps, elles pensaient que je pouvais le connaître. Je confirme que je ne l'ai jamais rencontré.
    
    Nous étions une nouvelle fois descendus ensemble et la mère de Nelly m'avais demandé de l'interroger au retour. Quand son fils s'est endormi à l'arrière, nous avons bien sûr discuté et beaucoup ris de la situation, même si elle présageait d'un futur pas très simple à gérer.
    
    A cette occasion, ma belle-mère m'a proposé de loger dans l'appartement du sous sol que sa « locataire » avait laissé vacant pour poursuivre sa carrière... en région bordelaise ! J'avais laissé la maison à ma femme et cela m'évitait de trouver un logement que j'occuperai peu.
    
    Jusqu'à son accouchement, Nelly n'est plus revenue chez ses parents. On lui avait fait comprendre que sa grossesse affichée était indésirable au pays. Je redescendais donc seul, pour voir mon fils.
    
    Mon ex belle-mère, tenait à m'héberger, ce qui lui permettait en même temps, d'avoir son petit-fils à la maison. Son facteur-amant était mort et sa locataire-amante partie ...
    ... vers d'autres cieux, elle se retrouvait seule après avoir vécu presque dix ans de luxure, dont j'étais le seul à être au courant.
    
    Un soir, alors que mon fils était parti au lit, je me suis retrouvé seul dans la cuisine avec ma belle-mère. Penchée sur l'évier, je voyais son gros cul face à moi. Elle avait revêtu son éternel peignoir, celui sous lequel j'avais découvert son corps la première fois, il y a plus de dix ans. Certes, ses formes s'étaient épaissies, surtout depuis le départ de sa maîtresse, mais elle m'excitait toujours. Je me suis levé et me suis collé derrière elle, lui faisant sentir mon érection.
    
    J'empaume ses seins par dessous. Elle proteste mollement :
    
    « Voyons, il ne faut pas !
    
    Tu n'es plus ma belle-mère. Notre contrat ne vaut plus rien.
    
    Tout de même.Je suis vieille maintenant.
    
    Mais tu es toujours bandante et je suis sûr que tu es encore chaude.
    
    Mais... Votre fils...
    
    Il dort. Ne t’inquiète pas ».
    
    Geneviève s'abandonne, ferme le robinet d'eau et se sèche les mains. Je profite de ce moment pour ouvrir son peignoir.Je plaque mes mains sur ses seins et je retrouve ses gros tétons dardés, preuve de son excitation. Bien sur, je les triture, sachant que cela provoque son excitation et même parfois sa jouissance.
    
    Je la retourne, la débarrasse du peignoir, je m'écarte pour admirer son corps pulpeux. Elle a chaud et se plaque contre moi en cherchant mes lèvres. Vaincue par ses sens, elle se donne à moi complètement.
    
    « Venez ! »
    
    Elle ...
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