1. APRÈS-MIDI COQUIN (Histoire vécue)


    Datte: 11/11/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Gay Auteur: Pascmich, Source: xHamster

    Ce récit, de mémoire, je me décide à le publier enfin. Née d’un contact par le biais d’un site de rencontre il y a de cela quelque années, cette aventure sans lendemain m’a laissé un souvenir... Amère.
    
    Les photos qui accompagnaient mon profil semblaient intéresser particulièrement "P", un homme d’âge mur. Après quelques commentaires et échanges écrits, il est décidé que je prendrai contact avec lui dès qu’il m’en sera donné l’opportunité. Je devrai alors me rendre chez lui, si son amie est absente.
    
    Peu de temps plus tard, j’ l’appelais pour un rendez-vous coquin. Par discrétion, Il a été convenu que je me présenterai chez lui en homme. Evidemment, j’emportais tout ce qui me semblait être indispensable à la réussite de notre "5 à 7" coquin.
    
    Bel homme, il m’a reçu sur le pas de sa porte ; nous avons échangés quelques mots et aussitôt gravi les escaliers qui nous permettaient de rejoindre l’antre de mon hôte. C’est là, que sans pudeur, je me changeais enfin pour revêtir mes habits de lumière.
    
    Assis sur un pouf en cuir, placé au centre de la pièce, il regardait, sans dire mot, semblant apprécier la scène qui se déroulait devant lui.
    
    Ehonté, dans cette tenue sans équivoques, je posais sur la table basse gel, poppers, préservatifs et appareil photo. Quelques caresses plus tard, penchée vers l’avant et appuyée à une armoire, je lui dévoilais mes charmes. Il immortalisa l’instant…
    
    Je revenais alors vers lui, pour le masturber, faire monter en lui le désir. Tombée ...
    ... à genoux, je regardais le membre se tendre vers moi. Je couvrais cette queue pour pouvoir enfin l’avaler. Consciencieusement, je plaquais le gland avec ma langue contre mon palais et exerçais sur le membre la succion qui devait le faire durcir encore. Il me regardait, voyant sa queue disparaître entre mes lèvres pour réapparaître presqu’aussitôt. J’aurais pourtant espéré qu’il me tienne par la tête afin de se servir de ma gorge comme un fourreau tiède dans lequel il pouvait se laisser aller.
    
    Un peu plus tard, nous reprîmes la séance photo ; exposée en levrette sur le lit, j’écartais cuisses et culotte, laissant mes couilles (superflues) tomber et dévoiler presque timidement l’entrée privée de mon être à travers la dentelle. Remontant la nuisette, j’entrepris de me caresser la chatte devant lui, bien consciente qu’il allait bientôt me falloir plus. Je me cambrais comme une chienne en chaleur prête à s’offrir à son mâle, priant le ciel qu’il vienne me faire subir les assauts espérés. Envahi par une chaleur indescriptible, tout mon corps suppliait la délivrance. Dans ma tête, confuse, ce sont des pensées inavouables qui se bousculaient. Mon bas ventre n’était plus qu’une fournaise qui me faisait agréablement souffrir.
    
    Quand il posa l’appareil photo, je me rapprochais du bord du lit. Je mettais à sa disposition un gouffre de désir. Mais cette fois (oui, ça arrive) les quelques tentatives qu’il entreprit sont restées vaines. Je n’ai senti de son membre que la chaleur. Il ...
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