De réelles pensées (2)
Datte: 10/11/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Carpadierma, Source: Xstory
... possible il y a plein de monde...
— Béa, on s’en fou, puis j’en peux plus, je t’ai connue enfant, puis tu as évolué, l’apparition de ces seins, de tes hanches, de ton putain de cul, j’ai pas compris, j’avais envie de te prendre à chaque fois que tu te dandinais sur la place... Dis oui s’il te plaît. Je vais céder s’il continue. Il reprend et dit :
— Regarde comme tu me fais de l’effet. Alliant les paroles à des actes, je le sens frotter son érection contre ma cuisse.
— Mmmm, je... d’accord, je veux bien. Alliant à mon tour mes paroles à des actes, je me baisse, déjà baveuse et trempée. Sur mes genoux, je commence à déboutonner le jean de Gabriel. Pendant ce temps, il me caresse les cheveux, le visage, tentant sûrement de me rassurer.
Face à son caleçon, je ne peux m’empêcher de dire à voix haute : " Waow ! elle a l’air si grosse, et bonne". Ce à quoi Gab répond par un : " Eh bien, goûte-la, ma belle"
Je ne me fais pas prier et la délivre du dernier tissu ; en la voyant, je ne peux m’empêcher de saliver encore plus, il fait sombre, mais sa silhouette à elle aussi est perceptible, mon Dieu...
— Oui, voilà, empoigne-la Béa, puis...
— Gabriel, si je fais ça c’est pour te prouver que je suis plus une enfant, c’est pas ma première, arrête de me guider, je me débrouille t’inquiètes pas. A la fin de ces mots, je laisse couler ma langue sur son gland humide, comme si je roulais une pelle à sa queue.
— Oh oui ! Vas-y... continue.
Il m’encourage à aller plus ...
... loin et lécher sa queue dans sa longueur, voulant m’amuser un petit peu, je décide de jouer le chat. Je lèche et lèche en longueur puis le prend d’un coup en bouche.
— Oh putain, petite... Aah ! Tu t’y prends bien en effet. Mais crois pas que je vais te laisser tout faire. T’es pas une gamine ? OK, alors je vais te baiser comme une adulte ma grande. A partir de là, je sens ses mains contre ma tête, il commence à me baiser la bouche tout d’abord lentement puis d’un coup très rapidement.
— MMmmm !! J’arrive plus à respirer, mais il a l’air de s’en foutre, non, pire, d’adorer cela, je le sens me fixer, il murmure quelque chose d’inaudible et se retire.
— Ce serait con que tu retournes en haut la bouche pleine de mon foutre. Retourne-toi. J’obéis et me retourne. Il me tient par les hanches, me dirige vers ce que je pense être une machine à laver et plaque mon ventre contre.
— Ne bouge pas ma petite pucelle, tu risquerais de boiter demain sinon.
— Qu-Quoi ?! Et sans crier gare, je sens quelque chose contre mon cul, il va quand même pas me l’enfoncer dans le cul !
— Ca va faire mal au début (il se rapproche et chuchote), mais après tu vas en redemander comme la petite salope que t’es, mais que tu caches derrière des airs de sainte. Sur ces belles paroles, il s’enfonce en moi, la douleur est atroce, une déchirure.
— A-Arrête Gabr-briel, ça fait trop mal ! A peine ma phrase terminée, il m’assène d’une claque sur le cul et reprend des va-et-vient plus vite. Petit à ...