1. J’INCITE MON ÉPOUSE A ME FAIRE COCU (2)


    Datte: 10/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Première fois Auteur: grandalfo, Source: xHamster

    Une histoire érotique écrite par caruso
    
    La visite terminée, ma chérie me demande d’amener Serge dans la villa ou nous avons élu domicile, un peu réticent au début, je cède sous la pression de la belle.
    
    Elle s’est installée à l’arrière du véhicule, Serge à sa droite. J’ai fait mine de régler le rétroviseur avant de démarrer, mais en fait je l’ai positionné directement sur le couple pour épier ce qu’ils font, car je me doute bien de ce qu’il va se passer sur la banquette arrière.
    
    À peine avais-je commencé à rouler que mon épouse l’attirait déjà à lui.
    
    À mon grand émoi, je les ai vus s’embrasser fiévreusement, les deux corps emboîtes l’un dans l’autre.
    
    J’avais un mal fou à fixer ma route avec attention, tant mon regard se trouvait irrésistiblement attiré par les deux individus qui à l’arrière, s’étreignaient tout en se touchant.
    
    Je le voyais, assez troublé, tripoter les seins de ma blondinette. Il avait, avec adresse, déboutonné les deux boutons du haut du petit haut de ma femme, et il massait sa petite poitrine dont les tétons pointaient.
    
    Je les écoutais geindre et haleter, avec une excitation allant grandissante et ma conduite en devenait dangereuse. Il avait maintenant glissé une main entre ses cuisses et j’avais un grand mal à détourner mes yeux du spectacle de mon épouse se faisant doigter franchement sa petite chatte .les jambes grandes ouvertes, sa petite culotte descendue jusqu’en bas des chevilles.
    
    Heureusement que la distance nous séparant de ...
    ... la résidence ou nous logions n’était que d’une dizaine de kilomètres, car je pense que nous aurions fini hors du chemin !
    
    Serge a demandé de faire une halte à la pharmacie. Il devait se fournir en préservatifs.
    
    Nous nous sommes retrouvés seuls un bref moment. En me retournant vers elle, j’ai constaté avec trouble son débraillé vestimentaire. Heureusement que la rue était vide de monde, car elle était restée telle qu’il l’avait laissée. Totalement impudique, les seins presque sortis, la jupe relevée sur ses cuisses franchement écartées, ses chairs roses exposées de manière obscène.
    
    J’ai glissé ma main entre les deux sièges, le doigt tendu vers l’arrière. Elle a glissé son bassin pour venir au-devant de moi. J’ai fouillé la fourche de ses deux cuisses, il était tout gluant de mouille.
    
    - Tu n’as pas honte, ma chérie, tu as la chatte toute baveuse ! Ça ne t’a pas gênée de te faire caresser ainsi devant ton mari ?
    
    - Nullement, au contraire, ça m’a énormément excitée. D’ailleurs je suis certaine que tu es dans le même état.
    
    - J’ai apporté des munitions, nous a-t-il annoncé en exhibant sa boîte de préservatifs.
    
    Nous avons ri tous les trois de bon cœur. Puis nous avons repris la route, Bernadette déjà lovée entre les bras de son amant lui butinait sa bouche tout en passant ses mains que je sentais impatiente sur son sexe qui formait une belle bosse, il doit être assez bien monté pensais-je en contemplant la protubérance qui tendait son pantalon.
    
    Un ami nous ...
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