Journal d'une jeune fille au pair - PARTIE 3 - Débauche
Datte: 09/11/2020,
Catégories:
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Auteur: Zwico, Source: Revebebe
... Moi, par contre, je n’y pensais plus du tout. Plutôt que de lui raconter la stricte vérité, je lui dis que j’ai essayé pour voir l’effet que ça fait. Ensuite, je lui vante les mérites de l’épilation : douceur et sensualité.
Après avoir laissé ma sœur essayer plusieurs de mes vêtements, elle me propose de faire une balade à pied. J’enfile donc à nouveau ma robe sans rien dessous, ce que remarque immédiatement ma sœur, mais elle ne m’en parle que lorsque nous sommes sorties de la maison.
— Tu n’as pas mis de sous-vêtements ?
— J’aurais du mal à dire le contraire, c’est vrai. J’ai essayé de ne plus en porter et c’est tellement agréable que je m’y suis vite habituée.
— Mais ce n’est pas un peu risqué ?
— Ça dépend comment tu t’habilles. Il vaut mieux éviter les jupes trop courtes. Au début, on se sent un peu mal à l’aise, mais une fois qu’on a pris l’habitude, ce n’est que tu plaisir.
— Pourquoi ?
— Parce que l’air te caresse les fesses et le sexe.
— D’accord. Et pour les seins, c’est pareil ?
— Oui, et là en plus, le tissu aussi te caresse les seins. Tu portes toujours un soutien-gorge, même en été ?
— Ben oui.
— Tu devrais tenter de l’enlever. C’est super agréable. En plus, tu n’as pas une très grosse poitrine, ça ne se remarquera même pas.
— Tu crois ?
— Essaye, tu verras.
Finalement, Solène n’hésite pas bien longtemps. Il n’y a personne aux environs, il ne lui faut que quelques instants pour retirer son soutif sans retirer sa chemise. Celle-ci est assez ...
... épaisse et ne permet même pas de deviner le bout de ses seins, qui pourtant, j’en suis sûre, doivent pointer sous le tissu, ce qu’elle ne tarde pas à me confirmer.
— Eh, dis donc, je sens que mes tétons durcissent.
— Je m’en doute bien.
— Ça n’arrête pas de me caresser.
— Avec une chemise épaisse en coton, ça ne m’étonne pas.
— Et tu supportes ça à longueur de journée ?
— Oui, c’est très agréable et on s’y fait vite.
— On va voir.
Midi est proche, nous rentrons à la maison pour le repas. La robe que j’ai choisi de porter est assez ample, du coup ce n’est pas facile de deviner que ma poitrine est en liberté dessous. Je pense que mes parents n’ont pas dû remarquer grand-chose. De toute façon, je suis majeure, je fais ce que je veux.
Le lendemain, avant le grand repas, Solène me confie qu’elle s’est rasé le sexe en prenant sa douche ce matin et qu’elle a beaucoup apprécié les sensations que cela lui a procuré. Dans la foulée, elle a aussi omis de mettre un soutien-gorge car elle a beaucoup apprécié de ne pas en porter la veille. Je l’observe, elle a une petite poitrine, ce n’est pas facile de s’en rendre compte. Ce n’est que lorsqu’elle prend ses seins entre ses mains pour les soulever que je remarque qu’ils bougent bien trop facilement.
Le repas se passe merveilleusement. Nos oncles et nos tantes sont venus ainsi que nos cousins et cousines. La fête dure une bonne partie de l’après-midi. Ma sœur s’amuse follement, elle rit à gorge déployée. J’imagine que le ...