La star 4
Datte: 21/01/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... me foutre à la porte, grosse pute. Tiens, couchée sur mon genou! Tu pourras montrer ton cul de salope tout violet à ton cornard. Tu lui expliqueras que tu t’es tapé les fesses par terre?
De mon observatoire, j’entends tomber une rafale de claques sonores sur des chairs dénudées. Les protestations stimulent la rage du mâle peu habitué à l’échec. Il redouble de violence, fait comprendre à la naïve sur quel rivage elle a débarqué. Les notions de droit du milieu traversent mieux une peau rouge, ramollie par une fessée appliquée avec force sur les parties charnues. A lui seul, le claquement des grosses mains sur le derrière meurtri me glace le sang. Il suffità la brute en colère de frapper. Les fouets, pinces, griffes sont inutiles. A entendre les appels à la pitié de Patricia, le prof de sport a la main décisive Habituée à mes façons policées, Patricia apprend à ses dépens la différence de manières qui caractérise son nouveau monde. Elle aperçoit les éléments nécessaires pour faire le bon choix. Si elle a besoin d’une brute sans pitié, elle l’a trouvée, elle est entre ses mains.
- Tu peux gigoter, ça élargit la surface marquée. Ta peau se marbre magnifiquement. Ce soir nous commencerons par une imitation. Je n’aurai aucun mal à faire rougir tes fesses. Tu dois aimer ça, cochonne. Je t’échauffe et après tu seras docile, douce comme un agneau, tendre comme du filet. J’en ai dressé des tordues de ton espèce. Dans dix minutes tu me supplieras de recommencer. Alors, je ...
... continue ou tu te soumets?
- Je n’ai guère le choix. Que veux-tu?
- C’est simple, je veux t’aimer, je veux être choisi comme mari, je veux passer un pacte d’exclusivité, je veux favoriser ta carrière, la faire durer, te procurer du fric, la belle vie et surtout te prouver mon amour. En retour, je souhaite recevoir ton amour. Les sentiments viendront avec la pratique et avec l’habitude. Il faut commencer, se donner sans calcul. Si tu te donnes à moi, si tu m’acceptes dans ta maison, dans ton lit, même en te contentant de jouer la comédie de l’amour, nous serons sur la bonne voie pour réaliser nos vœux. Alors je continue ou tu es convaincue de mon amour?
- Bon je veux bien partager mon corps entre toi et Serge, jusqu’à mon mariage. Mais pas mon lit.
- Ce sera la seule fois. C’est une rupture indispensable, tu dois le faire afin de chasser l’idée d’appartenance unique.
- S’il n’y a pas moyen d’y échapper, je me soumets. Mais sois plus doux, s’il te plaît. Je ne vais pas pouvoir me coucher sur le dos pendant des nuits ! Tu rigoles, mais tu m’as réellement mis le cul en feu.
- Tu avais déjà le feu au cul. Profitons-en. L’entrée en matière t’a disposée à un accueil de qualité. Laisse-moi déshabiller la gentille ménagère. Tu m’inspires, j’admire les courbes de ton corps. Il me faut un téton à mâcher. Il faut aussi entretenir le feu sacré. D’un seul coup je peux te mettre deux doigts dans la mouille débordante.
- Attention, tu me mords le sein. Si tu remues tes doigts ...