Une visite impromptue - Histoires de Sexe

Une visite impromptue

... !
— Tu lui offres ton corps ! Ce n’est pas compliqué. Allez, montre-moi un peu ce « cadeau » que je puisse lui en parler.
— Je dois me déshabiller ?
— Bien sûr ! On est entre nous. De toute façon, quand ce sera le moment avec lui, tu seras bien nue. Alors, tu arrêtes tes questions à deux balles, tu arrêtes de faire la nunuche et tu m’enlèves ton pull.

Le ton qu’avait employé Julia avait déstabilisé Delphine qui commençait à changer. À ses yeux, elle comprenait que la proposition lui plaisait. Tout en restant assise, Delphine enleva son pull. Julia lui intima l’ordre de se lever.

— Enlève-moi ton tee-shirt !

Le rouge aux joues elle s’exécuta et se retrouva en soutien-gorge.

— Tu t’es déjà mise nue devant une autre femme ?
— Jamais.
— Eh bien, c’est aujourd’hui que tu commences. Décontracte-toi. Je ne vais pas te sauter dessus !
— Oui Julia.
— Bon, garde tes chaussures et baisse-moi ton pantalon.

C’est ainsi que Delphine se retrouva en dessous devant Julia qui commençait à apprécier le sel de la situation.

— Mais qu’est-ce que je vois ? Tu ne sais pas t’épiler ?

Sous les bras apparaissait une pilosité débordante. Également, sur les jambes et les cuisses, on pouvait voir que l’épilation avait tardé.

— Dis-moi Delphine ça fait combien de temps que tu n’as pas fait l’amour ?
— Euh… deux à trois mois…
— Et ça fait combien de temps que tu ne t’es pas épilée ? Deux à trois mois. C’est cela ?
— Ben oui.
— Tout s’explique ! Monsieur Dominique ne ...

... veut absolument pas voir tout cela. Si vous devez vous rencontrer, va falloir faire le grand ménage là-dedans.

Delphine était rouge comme une pivoine et les bras ballants, subissait les remontrances de Julia.

— Allez, dégrafe-moi ton soutien-gorge.

Julia n’était pas fière de ce qu’elle faisait mais quitte à l’offrir à Dominique, elle voulait voir jusqu’où cela irait.

— Bon, voilà c’est bien. Montre-moi ta poitrine.

Elle se tendit en avant et Julia put s’apercevoir que ni l’âge ni les grossesses n’avaient entamé le port de ses seins. Des aréoles à peine foncées et des tétons déjà proéminents venaient enorgueillir le tableau.

— Ils ne sont pas trop mal… Ils sont sensibles ?

Delphine ne savait quoi répondre.

— Il va falloir que tu te mettes à parler et lorsque tu le feras tu devras dire des choses sensées. Alors, je me répète : sont-ils sensibles ?
— Je crois que oui, dit Delphine d’une petite voix.
— Alors montre-moi.

Delphine les caressa pendant quelques secondes. Julia s’aperçut qu’elle aussi avait la même façon de les caresser. D’abord par le dessous et ensuite des caresses qui remontaient sur le côté. Les tétons s’érigèrent presque de suite. Elle essaya de cacher son trouble mais les caresses qu’elle se prodiguait devait lui plaire.

— Bon cela suffit, baisse-moi ta culotte.
— Jusqu’où ?
— Jusqu’à tes pieds et prends l’habitude de faire ce que l’on te dit de faire sans poser de questions insensées. Monsieur Dominique n’aime pas du tout ...