1. Ma vie à trois


    Datte: 08/11/2020, Catégories: ffh, fbi, couplus, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral fdanus, fsodo, gifle, couple+f, Auteur: Martin, Source: Revebebe

    J’ignore si nos pratiques sexuelles actuelles relèvent vraiment de l’extraordinaire, mais je sais avec certitude qu’elles rendent des personnes concernées particulièrement heureuses, et ce, depuis plusieurs années.
    
    Je m’explique : nos enfants s’étant envolés pour construire leurs propres nids aux quatre coins du monde, notre villa est devenue bien trop grande pour le couple de tourtereaux qu’Adeline, ma femme, et moi, Martin, formons depuis plus de quarante ans.
    
    Lors d’un week-end à la côte, nous avons flashé sur le projet d’un grand constructeur immobilier : un très luxueux penthouse de 140 mètres carrés plus grande terrasse, situé au dernier étage du plus haut immeuble sur la digue.
    
    Très vite, nous vendons la villa et, avec l’aide d’un héritage récent, quinze mois et trois jours plus tard, nous prenons possession de notre bien à la mer.
    
    À la fin du printemps, quand le soleil invite les femmes à se découvrir encore un peu plus, Adeline et moi sommes au paradis sur notre immense terrasse avec vue imprenable sur la mer, la digue et même sur un petit port de plaisance. Nous pouvons nous y balader dans le plus simple appareil sans que personne ne puisse nous voir. Même notre extérieur est parfaitement séparé de celui de l’appart voisin. Adeline profite pleinement de cette liberté et n’enfile de vêtements que pour sortir de chez nous.
    
    Ce matin-là, je l’observe avec délice fouillant nue dans le dressing à la recherche d’une jolie robe pour se rendre au marché ...
    ... hebdomadaire. Elle en décroche une à petites fleurs, très légère et, la tenant devant elle :
    
    — Celle-ci te plaît, mon amour ?
    
    Question superflue, car nous l’avons choisie ensemble dans la boutique. J’aime son décolleté profond qui souligne ses seins bien fermes. Et le bas, ample et assez court n’attend que le bon vouloir d’Éole pour être soulevé.
    
    — Qu’est-ce que je mets comme sous-vêtements ?
    
    Je crois la robe suffisamment longue pour rester décente, du moins tant qu’Adeline ne se penche pas de trop vers l’avant. Je sais aussi qu’elle aime beaucoup la sensation de liberté qui se dégage en dessous en ne portant rien d’autre et qu’elle attend la confirmation de la réponse qu’elle espère.
    
    — Rien du tout, tu es très bien comme ça !
    
    Elle ne saisit pas la boutade dans ma réponse, mais elle me remercie par un doux baiser, enfile la robe, ajuste le haut et se précipite, les pieds nus, vers l’avant de la terrasse pour juger de l’effet du vent. Éole, mon vieux complice, se faufile rapidement sous la robe légère et caresse les fines jambes, les fesses et le sexe soigneusement épilé de ma femme visiblement ravie. Celle-ci se retourne vers moi :
    
    — T’as vu quelque chose ?
    — Euh… Non, rien.
    
    Un petit mensonge qui ne fait de mal à personne, me dis-je. Et Adeline se rend au marché, son petit panier sous son bras et fière de sa belle robe…
    
    À son retour, deux bonnes heures plus tard, elle me raconte avoir été un peu gênée par les coups de vent intempestifs sous son unique ...
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