COLLECTION VENGEANCE : Tueur à gages (2/3)
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... c’est lui qui en est l’instigateur.
Dans la presse, l’homme au complet bleu à Chalon, que j’évite de la lire, sur le kiosque près de chez moi, le titre parlait de l’assassinat du seul témoin ayant accepté de parler dans une affaire touchant le milieu.
• Merci du renseignement à demain, mettez tous sur ma note.
Il faut que j’analyse la situation, je monte dans ma chambre, heureusement qu’aucune nana soit là, j’aurais été incapable de l’honorer pour la première fois de ma vie.
Demain, je risque d’être la cible d’un autre tueur à gages, qui aura accepté de mettre fin à ma vie, pour avoir failli à ma mission.
Je sais comme celui qui me désigne ma cible au dernier moment par ce putain de téléphone qui pour une fois est toujours avec moi que la voiture n’a jamais rencontré un nid-de-poule, je prends la décision de naviguer à vue.
Il est vingt-trois heures, quand je décide d’aller faire un tour, je sors et reprends ma Porche, je roule jusqu’à Monte-Carlo où je rejoins le casino.
Je joue quelques euros et je gagne 5 000 €, bon présage, au bar, je vois une jolie poulette.
• 5 000 pour la nuit, es-tu partante ?
• Je le serais à moins, les pigeons sont rares ce soir.
• Alors en voilà un, viens chez toi !
• J’ai seulement deux pièces, allons chez toi.
Pas question ...
... de remonter, je l’emmène dans sa chambre.
• J’habite trop loin.
Une vraie pro, elle me suce sans rechigner, elle vaut bien son pognon, je la baise sans aucun problème, elle est demandeuse surtout de levrette et moi je veux me sentir vivant, demain sera peut-être un autre jour.
Je me vide les couilles après avoir réussi à la faire jouir.
• Voici ma carte avec mon numéro, rappelle-moi si tu passes dans le coin, ma porte te sera toujours ouverte.
Je retourne à mon hôtel en remontant la Turbie, je veux tordre le destin, si un contrat sur moi est en cours.
Sur la route, vers le point de vue sur la ville de Monte-Carlo, j’ouvre ma fenêtre et je jette la carte de la pute, inutile qu’elle est des soucis si dans les minutes qui suivent, je quitte la route une balle ayant éclaté mon pneu, il existe des fusils avec lunettes à infrarouge dans la nuit.
Le lendemain, je me suis fait monter mon petit déjeuner, je regarde en faisant attention de ne pas être dans une ligne de mire que la dénommé Lucrecia arrive, ce qu’elle fait à 10 heures précise comme me l’a dit le patron de l’hôtel.
J’attends cinq minutes et j’entre dans le bar, elle est assise dans un coin, les yeux rivés sur l’écran ou des numéros défilent, je m’assieds à ses côtés la saluant simplement d’un mouvement de tête…