Alter ego
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
init,
prememois,
inithf,
Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe
... que j’empaume avec passion. Malgré leur poids, ses seins ont gardé une grande fermeté. Du gras du pouce j’effleure les aréoles, tournant autour du téton que je vois durcir et gonfler.
— Va doucement, lentement… Plus ta caresse sera douce et lente, plus elle me fera de l’effet ! … Oui, quel bon élève tu fais…
Elle frissonne de plus belle. En titubant, elle m’entraîne vers le lit où elle se laisse tomber.
— Caresse-moi toute, comme ça, c’est si bon…
Et, du plat des deux mains, je l’effleure doucement, créant une chair de poule que je fais retomber immédiatement par une caresse plus appuyée. J’explore ainsi toute sa peau exposée. Elle, soupire, ronronne, balbutie parfois des mots sans suite.
Brusquement elle m’attrape les mains et me tire à côté d’elle sur le lit.
— Viens mon garçon, retourne-toi, il faut que tu en profites aussi. Un bon élève comme toi mérite une belle récompense.
Nous voici donc, tête-bêche dans le travers du grand lit. Je me laisse aller à la douceur de ses mains sur mes bourses puis à sa fermeté quand elle commence à me branler, enfin à la chaleur de sa bouche et au frottement soyeux de sa langue. Je sens la sève monter en moi. Non, pas si vite ! Il faut que je pense à autre chose. Devant mes yeux, cette motte attirante, cet entrejambe empli de secrets, sous mon nez, cette odeur riche de la femme, tellement différente de celle d’Amélie et pourtant immédiatement reconnaissable. Tellement pris par les sensations délicieuses que me ...
... procure Noémie, je ne découvre ces trésors qu’à l’instant.
Je perds mes doigts dans la toison. Descendant dans l’aine, je vais effleurer, chatouiller cette peau si douce de l’intérieur des cuisses qui s’écartent, laissant apparaître un sexe déjà dilaté d’où, tel un corail de fruit de mer, les petites lèvres débordent, brillantes de rosée intime. De la langue, je vais titiller ces nymphettes qui s’écartent pour mieux montrer la profondeur du sillon. Pour pouvoir mieux s’ouvrir, Noémie bascule sur le dos, m’entraînant au-dessus d’elle. Elle a toujours mon pénis dans la bouche et j’essaie de ne pas lui enfoncer dans la gorge.
Mais de mon côté, quelle vision ! Je découvre pour la première fois un sexe de femme puisque avec Amélie, j’avais toujours gardé les yeux fermés. Ce puits sombre qui dégorge de liquide odorant, tous ces replis palpitants et puis, tout en haut, à demi caché par un capuchon, ce petit gland nacré que je sais être la source de bien des plaisirs. De toute la largeur de ma langue, je lape toute cette humidité, m’enivrant de goût, d’odeurs, de contacts frémissant. Une houle parcourt le ventre sur lequel je m’appuie. Je devine qu’il ne faut pas toucher tout de suite au petit bouton du bonheur. Je continue mon exploration linguale, parfois avec la pointe tendue, parfois effleurant tout le sillon sur toute sa largeur. Je pars en découverte dans le puits, du bout de la langue d’abord puis avec un doigt qu’un deuxième vient rejoindre bientôt.
C’est chaud, étroit, ...