Une star pas comme les autres... - Histoires de Sexe

Une star pas comme les autres...

... forces !

Marlène me rejoint en peignoir ; elle a pris une douche. Galamment, je lui tends la chaise. Elle s’assoie.

— Merci Julien. Et merci pour tout à l’heure, j’ai beaucoup aimé. Un peu d’imprévu, de bestialité, c’est sympa aussi. Vous êtes le premier homme qui me fait de telles sensations.
— Et tout le plaisir est pour moi aussi, Marlène. Vous êtes divinement belle et douce.
— Flatteur, va. Bon, on mange ?

Nous prenons notre repas comme un couple qui se connaît depuis longtemps. Nous parlons de l’actualité, du buzz, de son concert, de mon passé. Le repas se passe à merveille, très agréable.

— Bon, Julien, allez vous changer, on doit être au stade dans une demi-heure. Ne faisons pas attendre la magnifique Marie.

Je m’habille en sportif. Sous mon t-shirt, je suis obligé de mettre une ceinture pour tenir le holster du Glock dans mon dos. Pas très pratique ni confortable, mais mieux que rien.

Je mets le t-shirt. Ça va, on ne voit pas trop l’arme. Il faut dire que le t-shirt est une taille trop grande, pour masquer l’étui et l’arme.

Je rejoins Marlène dans le salon. Elle est en tenue de sport.

— Toujours pas de sous-vêtements ?
— Non, toujours pas. Et vous ?
— Ah ! moi si, sinon… pas très confortable pour courir…
— Oui, ça ballotte… On y va ?
— On est parti.

Ascenseur, parking, voiture. C’est parti pour le stade. Marlène a mis sa casquette et de grandes lunettes à peine teintées. Parfait.

10 minutes plus tard, je me gare sur le parking du ...

... stade. Je repère la voiture de l’équipe de protection, ils doivent être en place.

Quelques minutes plus tard, nous entrons dans le stade. Les projecteurs sont allumés en veille, la nuit n’est pas encore tombée. Marie est assise dans un gradin, elle écoute de la musique sur son téléphone, avec des écouteurs. Nous la rejoignons.

— Bonsoir.
— Bonsoir… oh ! C’est vraiment gentil, je pensais que peut-être, vous ne viendriez pas…
— Ta ta ta ! quand je dis oui, c’est oui, Marie.

Marlène lui fait la bise, Marie n’en revient pas apparemment…

— Bon, allez, on court un peu ?
— Attendez, il faut s’échauffer avant, Madame Mongeot…
— Non, Marlène, s’il te plaît. Alors, il faut s’échauffer ?
— Oui, pour éviter un claquage… Je vous montre ?

Pendant une dizaine de minutes, nous faisons des étirements, des abdos, bref, l’échauffement de tous nos muscles. Ça fait du bien, ça me manquait… je m’en rends compte maintenant. Et puis, travailler son corps avec deux magnifiques femmes à ses côtés, pas à dire, c’est génial.

Ensuite, nous faisons une dizaine de tours de piste. Les premiers se passent bien, mais arrivés au sixième, nous commençons à sentir nos muscles un peu raides… Je laisse les deux filles prendre un peu d’avance. Le spectacle est très attirant, elles sont vraiment bien foutues, toutes les deux. Marie est beaucoup plus véloce que Marlène, ça se voit. Il faut dire qu’il y a quand même une quinzaine d’années d’écart…

À la fin du dixième tour, nous récupérons un ...