Le MAÎTRE et la soumise (3)
Datte: 08/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: lammergeyer & soumise72, Source: Xstory
... démonstration là maintenant, lui demande Jean-Pierre.
— Oui pas de problème, si vous vous joigniez à moi.
— Nous aussi tu sais Muriel, nous vivons désormais nus tous les deux à la maison, lui répond mon mari.
— Et toi Jean-Pierre, tu es cap de te joindre à nous, si on le fait ? lui dis-je en déboutonnant mon chemisier.
Pour toute réponse, il se déshabille très rapidement et nous présente une queue énorme déjà en érection ! C’est Muriel qui en ôtant son soutif pour libérer ses petits seins qui n’en avaient en fait pas besoin, ne peut s’empêcher de s’exclamer :
— Eh bien tu cachais bien ton jeu et en plus tu te rases même les bourses et le pubis.
— Je vois que toi tu as gardé une légère touffe couleur châtain pour montrer que c’est ta couleur naturelle sans doute, lui répond-il.
Claude, une fois nu lui aussi, rassemble tous les vêtements pour les porter dans notre chambre et revient s’asseoir près de Muriel qui se tournant alors vers moi, ne peut s’empêcher de s’étonner des marques rouges qui sont encore présentes sur tout mon corps. Les seins et la vulve en particulier attirent son attention :
— Mais qui t’a fait ça, j’espère que ce n’est pas toi Claude ? en lui tapant sur le haut des cuisses.
— Au risque de te décevoir, c’est bien moi car elle l’a mérité, n’est-ce pas chérie ? lui répond mon mari en prenant sa main pour la poser carrément sur sa bite demi-molle.
— Oui mon amour, même si sur le coup j’ai eu un peu mal, je suis récompensée après ...
... lorsque tu me prends sauvagement et que tu me provoques un orgasme puissant. Je dois t’en remercier indirectement Muriel car c’est en allant sur ton site que j’ai réussi à me décoincer côté cul, si vous me passez l’expression.
— De quelle manière exactement, si ce n’est pas indiscret ? interroge alors Jean-Pierre.
— Eh bien puisque l’on est entre nous et que la nudité nous a déjà ôté une barrière, je peux vous l’avouer maintenant je suis sous l’influence d’un maître qui me pousse chaque jour un peu plus loin dans la recherche du plaisir !
— Ah bon ! Toi aussi. Figure-toi que moi j’exécute maintenant tous les ordres que le mien me donne. Pas plus tard que ce matin il m’a demandé d’invité ma sœur chez moi et de m’arranger pour prendre la douche avec elle pour nous savonner mutuellement jusque dans les moindres recoins !
— Et tu comptes le faire ?
— Oui d’autant que j’ai ce fantasme depuis longtemps. Sans lui je pense d’abord que je n’aurai jamais franchi le pas de me présenter nue un jour devant elle quand elle vient. Mais maintenant qu’elle m’imite, je dois pouvoir la convaincre facilement de nous caresser mutuellement.
— Mais toi Marie-Claire jusqu’où ton maître a réussi à te faire aller ? relance Jean-Pierre.
— Je ne peux pas vous l’avouer au risque de passer pour une débauchée perverse dépourvue de toute morale à vos yeux !
— Là tu en dis trop ou pas assez. Parle, nous ne te jugerons pas, quoique tu nous dises, tu resteras notre MarieC que l’on aime ! ...